En lisant un tel article, Bourgelat doit se retourner dans sa tombe ! J'invoque son fameux serment, qui s'applique aux futurs vétérinaires, lesquels « prouveront par leur conduite qu'ils sont tous également convaincus que la fortune consiste moins dans le bien que l'on a que dans celui que l'on peut faire ». Ce serment de Bourgelat, que prêtent l'ensemble de nos concitoyens vétérinaires, doit être respecté. En conséquence, l'amendement du Gouvernement doit être adopté.