D'impulsion ou impulsifs, comme vous voulez. Ce n'est pas en écartant les animaux de la vue de ces personnes, notamment en les sortant des animaleries qui vendent des fleurs – c'est aussi le contraire – , que l'on continuera de travailler sereinement sur les questions de bientraitance et de maltraitance. On doit s'attaquer aux vrais problèmes. Je souhaite que des associations ayant pignon sur rue mènent de vraies actions de sensibilisation. J'aimerais que nous menions un vrai travail de fond sur le sujet, en arrêtant de jouer sur la sensiblerie lorsque cela nous arrange et, à l'inverse, de la dénigrer quand cela ne nous arrange pas. Continuons de vendre des animaux dans les animaleries et menons à bien un travail auprès des Français, pour qu'ils retrouvent une relation normale avec les animaux.