Effectivement, la question est bien de savoir quelles espèces doivent être concernées ou non par les conditions d'itinérance et de détention. Le Gouvernement estime que nous devrons observer plus finement, dans les mois à venir, la liste des animaux devant être concernés ou non. Dresser deux listes – animaux domestiques et animaux non domestiques – nous paraît restrictif ; nous devons prévoir un espace de discussion avec les rapporteurs et ceux qui ont travaillé sur ce texte, afin de préciser cette liste en fonction de certaines nuances. Par exemple, les amphibiens, les serpents, les araignées pourraient être considérés comme des animaux non domestiques sans pour autant poser autant de problèmes que des animaux nécessitant des besoins plus importants en matière d'espace ou d'accès à l'eau.