Cet amendement, également défendu par Cédric Villani et issu de discussions menées avec l'association « C'est Assez ! », répond à une certaine logique. Dès lors qu'on accueille en captivité des spécimens de cétacés pour leur prodiguer des soins, chacun comprendra qu'il est impératif qu'ils soient placés dans leur milieu naturel, c'est-à-dire en mer – dans un espace clos, certes – , de façon à ce que leur captivité pour soins se rapproche le plus possible de leur environnement naturel. C'est légitime, logique, et je ne doute pas, chers collègues, que vous voterez cet amendement.