Nous avons encore un problème de déséquilibre. Seuls quelques animaux sont concernés, et non l'ensemble des animaux présents dans des espaces d'accueil comme le Marineland. La contrainte ne doit-elle porter que sur ces animaux emblématiques, qui créent plus de sensiblerie – je le redis – , ou bien sur tous les animaux présents dans les parcs aquatiques ? Il aurait été préférable de travailler de façon globale et de s'interroger sur l'ensemble de la faune aquatique présente dans les parcs concernés, plutôt que de cibler seulement deux espèces. Certes, elles sont plus importantes en taille et en masse et vivent dans des espaces trop petits, mais d'autres espèces plus petites ont le même rapport avec leur environnement, même si c'est moins flagrant : je pense notamment aux poulpes, qui se retrouvent dans des aquariums restreints…