… mais il ne prévoit qu'un signalement. Imaginons qu'un individu casse la figure d'un agent du service public, qui hésite à porter plainte parce qu'il vivra encore pendant des années dans le voisinage de son agresseur et qu'il en a peur – disons les choses : c'est à son administration de prendre la responsabilité de porter plainte contre l'individu en question afin qu'il soit arrêté et condamné – ce que ne permet pas le simple signalement prévu à l'article 40, qui ne fait que s'empiler sur d'autres mesures inefficaces. Je trouve très pertinente la proposition de Mme la rapporteure consistant à recueillir l'accord des victimes.