Deuxièmement, pourquoi parler de l'instruction en famille dans ce texte ? La question a été posée à plusieurs reprises. Tout d'abord parce que le projet de loi a pour ambition de protéger tous les domaines de notre société menacés par les séparatismes, au rang desquels il faut ranger l'éducation, mais aussi le sport dont nous parlerons à l'article 25. J'ai entendu une autre question : pourquoi ne parlons-nous que de l'instruction en famille, des écoles privées sous contrat et des écoles privées hors contrat, et non de l'école publique ?