J'ajoute que, lorsqu'on légifère, il faut avoir le sens de l'intérêt général. Or, comme l'a dit M. le ministre, l'intérêt général n'est pas l'addition des intérêts particuliers. Le déterminer implique d'avoir une certaine vision de la société, afin d'apporter des réponses concrètes et précises à des problèmes réels. À cet égard, que celles et ceux qui ont enterré le rapport de Jean-Pierre Obin en 2004 n'ignorent pas son livre de septembre 2020 ! Qu'ils le lisent et ils comprendront la situation de nos territoires et les phénomènes d'entrisme et de séparatisme qui s'y déroulent, fruits notamment de l'islamisme radical. Il faut nommer les choses et être lucide pour faire la loi. Nous sommes lucides en soutenant l'action du ministre de l'éducation nationale.