Ce phénomène a beau être marginal, il existe et s'accroît. Si nous n'agissons pas aujourd'hui, il prendra de l'ampleur demain. Chacun doit donc assumer ses responsabilités devant l'histoire. Pour ma part, je ne voterai pas ces amendements visant à supprimer l'article 21, que je soutiens résolument, tout comme je soutiens le ministre de l'éducation nationale.