Avis défavorable. J'ajoute un mot sur l'amendement no 130 – distinct de l'amendement no 38 , qui a été appelé – parce que je ne voudrais pas qu'on dise que le rapporteur général refuse par principe des éléments qui relèvent du droit local.
En réalité, les établissements publics du culte sont très différents des associations cultuelles de droit commun pour la simple raison qu'ils reçoivent des subventions publiques. Autant il est nécessaire d'identifier les ressources autonomes des associations cultuelles ne recevant pas de subventions publiques, autant il ne nous semble pas raisonnable à ce stade que les établissements publics du culte recevant des subventions, les communes ayant par ailleurs par ailleurs l'obligation d'équilibrer les comptes, bénéficient des immeubles de rapport. Avis défavorable.