Car notre pays a souvent eu recours à la ruse de l'ingérence militaire, voire humanitaire, pour sécuriser ses intérêts, comme quand elle se préoccupait de l'uranium au Niger – et que penser de son action en Libye ?
Monsieur le ministre, que vous indiquiez dans le projet de loi que la France se réserve le droit d'intervenir partout ou que vous disiez, comme vous l'avez fait mardi lors de la séance de questions au Gouvernement, que l'aide publique au développement est un outil de puissance au service de la France, …