… parce qu'en l'occurrence, ce n'est pas qu'une question de montant, c'est une question de logique politique et, dans ce cas précis, je vois une contradiction.
Si cela ne vous suffit pas, monsieur Berville, voici un second exemple. Je pense à ce prêt français de 9 millions d'euros, dont a bénéficié le plus gros négociant arménien de fruits et légumes pour créer, tenez-vous bien, des serres chauffées pour de la production intensive de tomates et de poivrons, le tout étant destiné à l'exportation vers l'Union européenne, par l'intermédiaire d'un groupe français qui a bénéficié d'un crédit d'impôt d'environ 10 millions d'euros pour ce projet.