Je m'interroge, car nous avions adopté en commission un amendement précisant que les services de l'État disposent d'une trajectoire de moyens humains « cohérente avec la hausse des ressources prévue ». Cette formulation me semble plus forte que la vôtre, qui prévoit que les services de l'État « disposent de moyens humains cohérents avec les ressources prévues ». J'y vois un affaiblissement de la rédaction adoptée en commission – grâce à un amendement de la commission des finances, me semble-t-il.