J'avais déposé un amendement qui, à l'instar du 1 % sur l'eau qui existe déjà et du 1 % sur les mobilités que ce texte prévoit d'instaurer, visait à ce que les collectivités locales puissent, dans la limite de 1 % de leur budget consacré au service de l'état civil, financer des actions de coopération, mais il a été déclaré irrecevable au titre de l'article 40. Si l'idée vous paraît pertinente, je vous invite à la reprendre, monsieur le ministre : à mon sens, ce serait un bon moyen d'inciter les collectivités locales à affecter des moyens à des projets de coopération décentralisée consacrés à l'état civil. Une aide de ce type serait très utile aux pays ayant des états civils qu'on pourrait qualifier de faibles ou de défaillants, et permettrait aux fonctionnaires de l'état civil de notre pays de faire valoir leur grande expertise dans ce domaine.