M. Lecoq dit qu'il ne faut pas se contenter de généralités. Je ne voudrais que, par le biais de cet amendement, on ait le sentiment que les entreprises françaises agissant dans certains pays fragiles sont systématiquement suspectes. Ces acteurs font face à des environnements juridiques et fiscaux pour le moins mouvants, et les critères selon lesquels des contributions leur sont demandées ne sont pas toujours bien établis. Ne généralisons donc pas. Bon nombre d'entreprises françaises s'acquittent scrupuleusement d'obligations que Dominique Potier a permis d'inscrire dans la loi en matière de responsabilité sociale et environnementale. Je trouve que l'amendement a tendance à jeter un certain doute sur cet engagement. Et je ne suis pas le seul à le penser, puisque je vois Mme Lakrafi opiner du chef…