Je faisais partie de ceux qui pensaient que l'objectif fixé par le texte n'était pas suffisant, mais mon amendement souffrait d'un déséquilibre entre les dons et les prêts – vous y avez fait allusion, monsieur le rapporteur.
Dans ces conditions, pourquoi ne retenons-nous pas la formule proposée par Hubert Julien-Laferrière et ne fixons-nous pas comme objectif un rééquilibrage en faveur des dons ? Ce ne serait sans doute pas simple, mais cela permettrait de résoudre le problème complexe auquel nous sommes confrontés.