Le cadre de partenariat global dont nous débattons occupe en tout trente-cinq pages, dans lesquelles le mot « Liban » n'apparaît jamais. Il s'agit selon moi d'une erreur et presque d'une faute. Nous entretenons avec ce pays des relations très particulières. Le Liban doit donc être évoqué. Le Liban : vous m'avez bien entendu, monsieur le secrétaire d'État ! Nous devons porter une attention spécifique à ce pays. Puisque le CPG s'appliquera au cours des années à venir, le Liban doit être explicitement mentionné. Ma demande est on ne peut plus simple : n'oublions pas ce grand pays.