Je ne comprends vraiment pas votre logique. Dans ce document, qui se veut exhaustif, nous nous donnons les moyens d'expliciter notre politique. Or, à l'égard du Liban, nous conduisons une politique singulière en raison de notre proximité avec ce pays, des drames récents qu'il a vécus, notamment l'explosion du port de Beyrouth.
Elle est tellement singulière que nous avons recours à la Conférence économique pour le développement par les réformes et avec les entreprises – CEDRE – , un mécanisme de financement international lui-même singulier où nous exerçons, en quelque sorte, une fonction de chef de file.
Pour respecter cette singularité, nous devons faire figurer le Liban dans le CPG. Si celui-ci est destiné à mettre en avant certaines priorités, il me semble que ce pays doit être très clairement classé comme prioritaire. Je regrette vraiment les réponses du rapporteur et du secrétaire d'État.