À la fin de la deuxième phrase de l'alinéa 66, nous souhaitons ajouter les mots : « et dont elle soutient le treizième programme général de travail pour la période 2019-2023 ». En l'occurrence, il s'agit du programme de l'Organisation mondiale de la santé, l'OMS, dont tout le monde reconnaît qu'elle a connu une année extrêmement difficile : la crise du covid-19 constitue, à n'en pas douter, le plus grand défi auquel elle ait dû faire face, sans parler du retrait des États-Unis décidé par Donald Trump ni de la question de la Chine. Il conviendrait donc que nous affichions notre soutien à cette institution multilatérale : il ne sera pas de trop.