En 1963, par le traité de l'Élysée, le général de Gaulle et Konrad Adenauer ont fondé l'Office franco-allemand de la jeunesse qui, dans son esprit, correspond un peu à ce que défend aujourd'hui Hervé Berville avec le volontariat réciproque.
Avec cet amendement, j'insiste pour qu'on le fasse sur les terres de réconciliation contemporaines, à savoir les rives de la Méditerranée, qui ne doit être ni un cimetière ni un mur. Nous proposons donc que les jeunesses des deux rives coopèrent sur les plans culturel, scientifique et intellectuel, pour préparer la paix.