Je me réjouis de ce compromis. Nous avons été entendus ! Bérengère Poletti et moi avions trouvé violent d'être exclus d'une institution que nous avions l'impression de servir. Aujourd'hui, les représentants de nos groupes, choisis par le président Ferrand, pourront à nouveau siéger. C'est bon pour l'AFD, pour la démocratie et donc pour le pays !