Monsieur le président, quand vous prononcez un discours, j'ai fait le constat que vous alliez souvent vous nourrir de bonne façon d'anciens parlementaires comme Clemenceau, comme Jean Jaurès, comme Victor Hugo. Et, par curiosité, j'ai consulté les discours que vous citez. Mais, aujourd'hui, un Jean Jaurès, un Clemenceau, un Victor Hugo ne pourraient plus s'exprimer de la même façon.