S'agissant des questions écrites, le plus important, c'est la réponse : nous constatons tous que nous n'en avons pas souvent. Les plus anciens d'entre nous posaient beaucoup de questions, avant 2014 ; l'absence de réponse pouvait donc se concevoir. Le nombre de questions a été réduit à 52 depuis. J'ai regardé mes statistiques personnelles – je ne pose pas beaucoup de questions – et 25 % des questions que j'ai posées depuis 2017 n'ont toujours pas obtenu de réponse. De même, depuis 2017, 25 % des questions signalées n'ont pas reçu de réponse.
Il faudrait tout de même trouver une solution, par exemple en confiant une nouvelle tâche au président de l'Assemblée – qui en a déjà beaucoup – lui demandant d'annoncer une fois par mois, avant la séance de questions au Gouvernement, les statistiques, ministère par ministère.