Merci pour ces précisions. Je voudrais juste rappeler, – et c'est dans le courrier que nous avons adressé au ministre, un courrier signé par les dix-sept parlementaires du Val-de-Marne, sénateurs et députés – , qu'il serait pour nous inconcevable qu'alors que notre pays est confronté à une crise sanitaire sans précédent et que les questions de santé sont devenues une priorité pour l'ensemble de nos concitoyens, que le projet de l'AP-HP se traduise par un recul de l'offre et de la qualité des soins apportés aux habitants du Val-de-Marne et de l'Est parisien et par une moindre attractivité pour les médecins et les étudiants. Nous serons attentifs. Comme je l'ai dit, nous avons déjà vécu le douloureux épisode du service de transplantation hépatique déménagé de Mondor, et plusieurs tentatives ont été faites concernant le service de cardiologie entre 2010 et 2012. L'ensemble des parlementaires du Val-de-Marne sont attachés à cet hôpital et nous veillerons à ce que l'offre et l'attractivité y restent intactes.