J'invoquerai les mêmes raisons que Mme Florennes. Ce phénomène d'ampleur a déjà été évoqué durant nos échanges et dans le rapport de Mme la rapporteure. Le fait pour un majeur de demander à un mineur de moins de 15 ans, par le biais des nouvelles technologies, de réaliser certains axes actes sexuels à distance bénéficie jusqu'à présent d'un vide juridique, que nous proposons de combler ce soir. J'espère donc que ces amendements seront votés.