À ce qu'ont dit les orateurs précédents, je souhaiterais ajouter que, si le sport contribue à la cohésion sociale et à l'émancipation individuelle, il peut malheureusement donner lieu à la reproduction des discriminations qui existent dans la société – c'était d'ailleurs l'objet de mon avis sur le projet de loi de finances pour 2018, qui portait notamment sur la question de la lutte contre les discriminations dans le sport et au sein de la jeunesse.
Il me semble donc très important d'écrire que, quels que soient son sexe, son genre, son orientation sexuelle, son âge, son éventuel handicap, son appartenance avérée ou supposée à une nation ou une ethnie, sa religion, sa langue, sa condition sociale, ses opinions politiques ou philosophiques, chacun doit bénéficier d'un égal accès la pratique sportive, à l'activité physique. L'écrire de cette manière nous apparaît essentiel et représenterait un véritable progrès.