J'appelle vraiment nos collègues à avoir bien en tête les conséquences qu'aura leur vote par rapport à l'influence française dans le mouvement sportif international, et je note avec beaucoup d'intérêt la grande pudeur qu'a eue le rapporteur, qui l'a conduit à ne citer aucun exemple, tandis que Mme la ministre n'a pu en citer qu'un alors qu'il y a plus de cent présidents de fédération … Il me semble que c'était la meilleure démonstration à faire en faveur de mon amendement.