Les amendements de Jean-Christophe Lagarde pour ce dossier
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Pour ce qui concerne le groupe UDI, nous souhaitons que les travaux puissent reprendre, malgré deux profonds regrets. Le premier, c'est que le mépris vis-à-vis de l'Assemblée nationale, qui est la marque de fabrique de ce quinquennat et que la docilité de la majorité ne fait que faciliter,…
Le Gouvernement nous explique qu'il y a urgence – M. Véran le rappelle régulièrement, et je crois qu'il a raison. Le projet de loi permet-il de répondre à cette urgence ? C'est l'objet du débat que nous souhaitons voir reprendre. Mais – et c'est mon deuxième regret –, s'il y a urgence, l'exécutif aurait mieux fait d'éviter que nos débats soient...
…hier, c'est parce que votre Président de la République l'ouvrait un peu trop, exprimant son mépris pour la population française, commettant ainsi une faute eu égard à la fonction institutionnelle qui est la sienne. Il est écrit dans la Constitution que le Président de la République est le garant de l'unité des Français ;
pas des Français moins un, pas des Français moins 1 million, pas des Français moins 6 millions ! Il est censé être le Président de tous les Français ; avec cette interview, il a renoncé à l'être ,
puisqu'il a décrété qu'une partie de nos concitoyens n'étaient plus des Français dont, en tant que chef de l'État, il se sentait responsable. Là est le vrai irresponsable : il réside à l'Élysée.