Les amendements de Martine Wonner pour ce dossier

31 interventions trouvées.

On n'enferme pas, on ne confine pas, on ne se donne pas les moyens de prolonger ce couvre-feu. Oui, il faut supprimer cet article. Je ne nie absolument pas la situation sanitaire.

Absolument pas. Mais les chiffres qui continuent d'être mis en avant ne servent qu'à entretenir la peur parmi les Français. On parle de plus de 100 000 morts sans avoir remis les compteurs à zéro. C'est négliger les 500 000 autres décès en dehors de la covid. Pourquoi ne parle-t-on pas des 600 000 personnes qui sont malheureusement mortes depui...

Je remercie M. le ministre. S'il a pu se faire applaudir une fois de plus par tous mes collègues députés,…

…je répète qu'il se trompe en persistant depuis un an dans cette stratégie qui n'est pas la bonne pour les Français.

…que nous, parlementaires, sommes là pour évaluer et contrôler l'action du Gouvernement. Tous les collègues ici l'ont complètement oublié.

M. le ministre est invité dans cette maison et il n'a absolument pas à se moquer des parlementaires comme à son habitude.

et il eût été tout à fait intéressant que nous puissions débattre sur des bases scientifiques que M. le ministre ignore depuis un an.

Je suis assez surprise de cette réponse car, lorsque vous évoquez tout document qui permettrait de justifier un rétablissement, on entend que cela pourrait s'appliquer à un simple certificat médical : peut-être êtes-vous en train de nous dire, monsieur le secrétaire État, qu'on va enfin pouvoir faire confiance aux médecins ! Qui dit rétablissem...

Cela tombe bien, M. Blanchet est revenu. Monsieur le président, vous aviez annoncé que je prendrais la parole sur ses amendements, mais vous ne me l'avez pas donnée. Sans refaire l'historique, je constate que, dans tous les domaines, les députés de tous les groupes pointent l'incohérence totale des choix de l'exécutif dans l'article 1er . Depu...

Le couvre-feu est fixé actuellement à dix-neuf heures et, pour une raison totalement inexpliquée, il va passer à vingt et une heures. Mais pourquoi pas vingt et une heure trente ?

Monsieur le rapporteur, pardonnez-moi d'en revenir toujours à la même demande : ne peut-on apporter un peu de cohérence à ce texte pour contrebalancer la dissonance cognitive que vous nous imposez depuis plus d'un an ? Je n'ai toujours pas compris sur quelle base scientifique cet horaire avait été fixé. Et pourquoi rester dans l'état d'urgence ...