Les amendements de Nadia Hai pour ce dossier

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On vous a indiqué que le droit actuel satisfait déjà votre amendement, ce qui ne signifie pas que la majorité ne fait rien. Si vous écoutiez tout ce qu'on a à vous dire, les réponses faites aux députés lors des séances de questions au Gouvernement, au lieu de créer le bazar, comme vous avez l'habitude de le faire,

vous comprendriez que nous avons imposé aux entreprises le name and shame : nous rendons public les noms des entreprises qui ne respectent pas la loi et qui discriminent. Arrêtez donc de proférer vos contre-vérités, ça commence vraiment à bien faire !

La création de ce label a très bien été défendue par notre collègue Blanchet. Je remercie Adrien Taquet qui, dans son rapport, a travaillé sur l'inclusion des personnes handicapées, un sujet prioritaire pour le groupe La République en marche.

Il est en effet très tard, ou très tôt le matin. Je tiens à remercier particulièrement tous les personnels de l'Assemblée nationale, ainsi que tous les collaborateurs de tous les groupes.

Au nom du groupe La République en marche, je remercie également tous les groupes parlementaires, sans exception : nos débats se sont déroulés dans le respect mutuel. Nos désaccords sont profonds, mais ce qui réunit, c'est la quantité de travail que nous pouvons fournir et la force de nos convictions. Vous n'en serez pas étonnés : nous voterons...

Ce plan de croissance et de transformation des entreprises aborde plusieurs sujets, parce que l'on ne peut engager une transformation de nos entreprises, donc de nos économies, en quelques articles. La richesse de ce texte n'en fait pas un fourre-tout, mais un texte fourni et ambitieux. Ce projet libère nos entreprises ; il aide la création d'...

Nous voulons que les entreprises s'engagent dans un cercle vertueux en matière de responsabilité sociale et environnementale, et nous modifions donc l'objet social. Nous veillons à l'inclusion des personnes handicapées, combat si cher à notre majorité. Nous renforçons la qualité des brevets en France, et alignons nos règles sur le meilleur st...

Une chose est sûre : nous ne sommes pas tous d'accord sur la privatisation d'Aéroports de Paris, pour des raisons que nous avons développées tout au long de nos débats. Nos discussions ont, je crois, éclairé les motivations des uns et des autres. Mais, collectivement, nous devons être certains d'une chose : la majorité a pris conscience des err...

Je suis fascinée par la maîtrise de nos collègues de l'opposition dans le maniement de la peur, même sur les sujets économiques. Nous avons entendu nos collègues de gauche comme de droite brosser un tableau anxiogène, répétant depuis plusieurs jours le même discours à nos concitoyens. Pourtant, ce que nous nous apprêtons à faire n'est ni plus n...

Le laisser croire, c'est mentir aux Français. Ce n'est pas en ânonnant des erreurs que l'on fabrique des vérités.

Vous agitez des contrevérités sur l'ensemble du dossier. Dire que le Gouvernement perd le contrôle de la gouvernance d'ADP, c'est faux. Dire que le Gouvernement perd le contrôle des frontières, des tarifs, des régulations aéroportuaires, c'est faux.

Laisser croire que l'État abandonnera les riverains, c'est faux, puisque des engagements fermes et efficaces sont pris. Dire que les investissements ne restent pas sous le contrôle de l'État, c'est faux. Laisser croire qu'un État étranger pourrait prendre le contrôle d'ADP, c'est faux, car tout changement du contrôle d'ADP devra se faire avec l...

Pas plus que vous, je ne le crois, monsieur Vigier. Nous sommes donc d'accord sur le fait qu'il est nécessaire de céder les actifs. S'agissant des dividendes perçus, croire qu'il s'agit là de revenus stables et pérennes, c'est méconnaître les mécanismes financiers : ces revenus fluctuent en fonction des aléas du marché. L'histoire nous a montr...

Par cette cession d'actifs, nous souhaitons garantir un revenu pour l'avenir, et ainsi créer un fonds pour l'innovation de rupture afin d'investir dans l'avenir et d'être en phase avec nos ambitions économiques dans le monde concurrentiel où nous vivons.

Il faut opérer un choix entre l'augmentation des dépenses publiques, impossible compte tenu des contraintes budgétaires actuelles, …

… et des investissements intelligents et sûrs. Nous prenons nos responsabilités, en prévoyant tous les garde-fous nécessaires, afin d'être gagnants à la fois pour relever la concurrence internationale et pour assurer la sécurité de nos investissements. Ainsi, nous n'aurons rien à envier aux aéroports de Francfort, de Londres ou encore de Dubaï,...

Monsieur Pupponi, ce n'est pas avec ce texte que nous allons régler le problème des emplois en France et, en particulier, dans les quartiers populaires. Par contre, nous le faisons par le biais des emplois francs, ce dispositif, vous savez, qui incite les entreprises à embaucher des personnes des quartiers populaires.

Nous vous invitons vraiment à vous intéresser à cette mesure parce qu'elle incite les entreprises à embaucher dans les quartiers populaires.

Voilà plus de vingt mois, maintenant, que les Français ont fait le choix d'une profonde transformation de notre économie. La réforme du droit du travail, de la formation professionnelle, de l'apprentissage et, enfin, la nouvelle politique fiscale vont dans le sens de cette transformation.

Monsieur Mélenchon, vous avez raison : la formation professionnelle est importante. C'est pourquoi notre majorité lui a consacré un budget de plus de 15 milliards d'euros ; il est dommage que vous ne l'ayez pas voté. Nous avons nourri l'ambition, à travers ces réformes, de rénover le dialogue social, de donner à chacun les compétences lui perm...