Les amendements de Pascal Bois pour ce dossier
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Il faut être logique avec soi-même : ayant été le rapporteur de la proposition de loi qui a créé le Centre national de la musique, je ne pouvais qu'être en phase avec l'ensemble de la filière musicale. Car il y a un trou dans la raquette s'agissant des dispositifs de crédits d'impôt : en amont, il y a certes le CIPP – le crédit en d'impôt en fa...
Je souhaite par le présent amendement ajuster les taux et les plafonds des dépenses éligibles du crédit d'impôt en faveur de la production phonographique dont il a été précédemment question. Il s'agit de répondre à une aspiration légitime des professionnels de la filière qui savent à quel point l'effet levier que le CIPP procure leur est indisp...
Il s'agit d'ajuster les critères d'attribution de ce crédit d'impôt de production de spectacles vivants. La crise sanitaire affecte cette filière au premier chef : ses acteurs sont les premiers à avoir décroché et ils ont pour le moment du mal à revenir à une activité normale. Entre-temps, pour éviter les faillites, c'est vrai, le Gouvernement ...
Cet amendement dû à Raphaël Gérard vise à ce que le CNC, en contrepartie de l'important soutien de l'État, s'engage fortement en faveur de la création et de la production de contenus qui favorisent la représentation de la diversité française. Les mouvements sociaux qui ont émaillé nos rues à la suite de l'onde de choc déclenchée par le meurtre...
Chacun le sait, s'il est un domaine qui fut fortement affecté par la crise dès son commencement et le reste encore à ce jour, souffrant d'un fort manque de visibilité, c'est bien celui de la culture. Cet amendement porte plus particulièrement sur le spectacle de variété et les spectacles vivants. Il concerne la taxe sur les spectacles, que coll...
Je comprends bien l'interpellation de notre collègue Schellenberger, sauf que de petites jauges ont tout de même pu être atteintes depuis le mois de mars.
Certains collègues peuvent en témoigner. Ces recettes restent certes marginales, mais nous devons en passer par l'adoption d'un amendement pour que les spectacles concernés soient exonérés de la taxe. Quant à M. de Courson, je ne comprends pas à quel problème de temporalité il fait référence.
À l'exception des deux mois et demi pendant lesquels des spectacles ont eu lieu, vous aurez bien compris que, depuis le mois de mars, les organisateurs n'ont pas effectué de déclaration – avec paiement, en tout cas ; mais ils devront faire des déclarations dans tous les cas, même si leurs recettes sont nulles. La loi de finances rectificative d...