Les amendements de Philippe Vigier pour ce dossier
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Enfin, pour terminer, il y a un mot que nous avons malheureusement oublié de mentionner : ce soir, nous sortons de l'état d'urgence pour passer en état de vigilance sanitaire.
Et nous serons exigeants au moment de nous retrouver, le 15 février prochain. Je le dis à la ministre déléguée : le 15 février, nous serons là, et nous demanderons des comptes ! Nous apprécierons alors ensemble la situation. Faisons donc œuvre utile, ensemble.
On le voit, un certain nombre d'amendements qui viennent d'être présentés visent à raccourcir le délai de caducité du cadre juridique de l'état d'urgence sanitaire, appelé dorénavant état de vigilance sanitaire. Monsieur le secrétaire d'État, j'entends bien les arguments que vous avez développés tout à l'heure, expliquant qu'il fallait prévoir...
Après avoir écouté M. Gosselin avec beaucoup d'attention, je souhaitais lui dire que le groupe Mouvement démocrate (MODEM) et démocrates apparentés ne soutiendra pas la motion de rejet préalable.
Tout d'abord, cher Philippe Gosselin, nous nous trouvions ensemble au sein de la commission mixte paritaire où Sénat et Assemblée se sont mis d'accord pour trouver des outils permettant d'adapter l'état d'urgence sanitaire. J'ai soutenu avec vous l'échéance du 15 novembre 2021. Nous avons donc été capables d'atteindre notre but en la matière. É...
Cette évolution de la terminologie reflète celle de la situation, dont nous pouvons dire qu'elle est le fruit du travail que nous avons fait, tous ensemble, depuis de longs mois. C'est pourquoi, je le répète, nous ne voterons pas pour la motion de rejet.
Aurélien Pradié parlait à l'instant d'accoutumance ; or je ne m'accoutume pas à l'affaiblissement du Parlement – j'en fais la démonstration ici même depuis plusieurs années. Notre pays est confronté depuis vingt mois à une situation exceptionnelle, qui a exigé des mesures tout aussi exceptionnelles. En mars 2020, nous avons d'ailleurs tous rép...
Quelques semaines plus tard, où en sommes-nous ? J'étais présent – Philippe Gosselin s'en souvient – lors du fameux « dimanche de l'impossible » où chacun, en responsabilité, a fait un pas vers l'autre pour que le Gouvernement ait les moyens de travailler et de protéger nos concitoyens. Je n'oublie pas les 120 000 morts, ni le personnel soignan...
Je n'oublie pas cette communauté absolument extraordinaire, que nous n'avons pas ménagée pendant de longs mois, et qui est toujours là.
Les deux députés de Guadeloupe du groupe Dem, Justine Benin et Max Mathiasin, nous alertent sans relâche sur la situation difficile de leur territoire – vous vous êtes d'ailleurs rendus sur place, madame la présidente et monsieur Gosselin. Comme vous, j'ai l'espoir que la pandémie soit totalement et définitivement derrière nous, mais il faut r...
Ce département proche du vôtre a enregistré un taux d'incidence important. Certains affirment : « Tout est gagné, c'est terminé, levons toutes les mesures, tout va bien ». L'un d'entre eux, Boris Johnson, comprend aujourd'hui qu'il a laissé la maladie s'échapper à nouveau au Royaume-Uni. L'histoire des pandémies nous appelle à l'état de respons...
Il faut expliquer d'où nous venons et où nous en sommes – c'est indispensable, car cela évite à chacun de céder à la moindre tentation d'instrumentalisation politique.
Si nous ne devions plus examiner aucun texte, vous pourriez nous convoquer le 15 mars pour nous dire que tout va bien, mais ce serait à des fins politiques, en vue de la future échéance électorale. Or nous pouvons siéger jusqu'au 17 juin. Pour rappel, monsieur Gosselin, je fus de ceux qui ont fait savoir au Sénat que nous étions prêts à siéger ...