Les amendements de Robin Reda pour ce dossier
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Les amendements que ma collègue Constance Le Grip et moi-même allons vous présenter visent à permettre aux régions et aux autorités organisatrices de transport d'exclure les étrangers en situation irrégulière sur le territoire de la République du bénéfice des tarifications solidaires appliquées dans les transports publics. Nous les avons dépos...
Il est dommage, monsieur le ministre d'État, de ne pas traiter le sujet dès maintenant, d'autant que nous vous proposions une rédaction plus ou moins consensuelle. Je comprends qu'il s'agit d'une question qui relève de la mobilité, mais il s'agit aussi d'équité avec les Français comme avec les étrangers en situation régulière.
Le surcoût de cette tarification solidaire en Île-de-France s'élève à 43 millions d'euros en 2018 ; pour le financer, il faudrait augmenter le prix du pass Navigo de 18 euros pour tous les bénéficiaires. Je ne vous souhaite pas, monsieur le ministre d'État, que la région Île-de-France soit obligée demain d'imposer une taxe Collomb, une taxe Faj...
Je saisis l'opportunité de dialoguer sur cet article pour évoquer la question des étudiants bénéficiant du dispositif « passeport talent ». Monsieur le ministre renverra peut-être les amendements de notre groupe à la ministre de l'enseignement supérieur, …
… cependant, je voulais témoigner d'une rencontre que j'ai faite lors d'un déplacement dans un centre du Secours catholique de ma circonscription avec une jeune femme ayant bénéficié d'un visa pour venir en France poursuivre ses études en master 2. Cette jeune femme, à qui l'on avait promis que ses études en France lui permettraient une ascensi...
Je fais ce rappel sur le fondement de l'article 58, alinéa 1, pour fait personnel à l'encontre de M. Le Maire, de M. Lecornu et de ceux qui – j'en ai fait partie – ont participé au contrat présidentiel de M. Le Maire, contrat présidentiel qui prévoyait bien, le 17 septembre 2016, de transformer l'aide médicale d'État en aide médicale d'urgence ...
Oui, j'ai fait des progrès ! Je souhaite vous adresser une simple observation, chers collègues de la majorité : cet après-midi, vous vous êtes levés pour applaudir un premier ministre qui nous rendait visite et qui faisait de la langue française le ciment de l'intégration dans une nation ; ce soir, confortablement installés, comme des hiboux,
vous ne nous donnez plus du tout le sentiment que la langue française est importante et qu'elle fait partie des conditions de l'intégration. Ayez un peu de cohérence : vous devriez vous levez, applaudir et voter cet amendement.