Les amendements de Sébastien Leclerc pour ce dossier
31 interventions trouvées.
Je remercie tout d'abord Damien Abad, président du groupe Les Républicains, de m'avoir permis de poser une question lors de ma dernière séance de questions au Gouvernement. J'adresse également mes remerciements à Christian Jacob et à tous les collègues de mon groupe. Lundi prochain, je passerai le relais à ma suppléante, Mme Nathalie Porte, qui...
Le 16 mars, la fermeture des établissements scolaires a été une décision relativement facile à appliquer. Il a fallu repenser les modalités de l'enseignement, à distance et le plus souvent sous forme dématérialisée. Avec une implication très forte de nos enseignants, que nous saluons, avec l'aide de nombreuses collectivités qui ont prêté des or...
Monsieur le Premier ministre, selon toute vraisemblance, ils sont plus d'un million, qu'ils soient écoliers, collégiens ou lycéens, à vivre un calvaire quotidien dans leur établissement scolaire, mais également en dehors. Je veux parler des jeunes victimes du harcèlement scolaire. Les chiffres sont effrayants : en moyenne, trois enfants par cl...
C'était il y a quatre ans, jour pour jour, le 3 mars 2016. Pour protéger nos enfants, pour éviter à de nouvelles familles de connaître un tel drame, il faut agir. Agir, c'est d'abord prévenir, en parler dans les établissements scolaires. Agir, c'est aussi former les personnels, aussi bien les enseignants que les agents des collectivités qui ...
Je vous remercie de votre réponse, monsieur le ministre. Vous avez évoqué de nouvelles initiatives. Peut-être l'État pourrait-il aussi accompagner les communes qui veulent créer des dispositifs pour déceler les situations de harcèlement. Les directeurs académiques des services de l'éducation nationale – DASEN – pourraient prendre contact avec e...
Madame la ministre des solidarités et de la santé, jusqu'à une époque très récente, les principales préoccupations de nos concitoyens concernaient l'emploi et la sécurité. Une autre thématique est en passe de devenir prépondérante : celle de l'accès aux soins. Vous le savez, les hôpitaux publics sont au bord du gouffre. Le mal n'est pas nouvea...
Par la loi, nous venons d'acter un relèvement du numerus clausus. Mais les premiers effets de cette mesure ne se feront sentir qu'en 2030. Or il y a urgence, madame la ministre.
Parce qu'il y a urgence, un certain nombre de collectivités – le département de Saône-et-Loire d'abord, puis celui de l'Orne, et tout récemment la région Centre-Val-de-Loire – ouvrent des centres de santé et salarient des médecins. Quel regard portez-vous sur ces initiatives ? Dans notre pays, la réussite passe désormais surtout par les territ...
L'État intervient déjà pour créer les pôles de santé libéraux et ambulatoires, structures qui sont parfois des coquilles à moitié vides, faute de médecins. Nos habitants sont dans l'attente de solutions rapides et pragmatiques ; les urgences sont dans l'attente d'une réduction du flux des entrées. Si nous sommes très attachés à la médecine li...
Il nous faut des médecins : je vous propose d'encourager et d'accompagner le salariat de médecins de ville – pourquoi pas à Lisieux.
Monsieur le Premier ministre, jeudi 26 septembre, au milieu de la nuit, un énorme incendie s'est déclaré dans une usine pétrochimique de la ville de Rouen. Les sapeurs-pompiers de Seine-Maritime, avec le renfort de leurs collègues des départements limitrophes, ont réagi aussitôt et avec efficacité pour contenir puis éteindre cet incendie. Alors...
Ce ne sont pas des critiques, madame la ministre, mais des questions renouvelées qui attendent des réponses que nous n'avons toujours pas depuis la question de notre collègue Christophe Bouillon. Je mesure à votre réponse l'embarras du Gouvernement.
J'associe à ma question mes collègues Véronique Louwagie et Jean-Pierre Door. Monsieur le Premier ministre, une des principales préoccupations de nos concitoyens est la santé, c'est-à-dire la capacité du système de santé à répondre aux besoins de tous les Français. C'est un paradoxe déplorable que de constater que la politique publique qui est...
Monsieur le Premier ministre, il existe d'autres dysfonctionnements dans votre politique de santé, des dysfonctionnements moins connus, certes, mais qui suscitent tout de même des interrogations.
Par exemple, les masseurs-kinésithérapeutes se font contrôler, puis sanctionner financièrement, s'ils ont un niveau d'activité supérieur à la moyenne départementale. On se trouve alors dans une situation ubuesque : des patients se font prescrire des séances de kiné par leur médecin traitant ; dans les territoires sous-dotés, des professionnels ...
Ne nous répondez pas uniquement que le plan « ma santé 2022 » va tout régler ! La situation est gravissime, et ce dès ce mois de juin 2019.
Monsieur le Premier ministre, le 14 février dernier, les agriculteurs du Calvados, les salariés de l'usine Saint Louis Sucre de Cagny et les élus ont été abasourdis par l'annonce du groupe Südzucker d'un arrêt prochain de la transformation betteravière sur ce site. Ces annonces vont au-delà de l'usine de Cagny, puisque le site d'Eppeville, dans...
J'associe mon collègue Damien Abad à ma question. Monsieur le Premier ministre, le week-end dernier, ceux que le Président de la République a si brillamment surnommés les « Gaulois réfractaires » et les « fainéants » se sont vêtus de jaune dans chacune de nos circonscriptions. C'est un mouvement spontané qui ne doit rien au hasard mis qui rés...
c'est cette France-là qui est aujourd'hui en jaune, et ce n'est pas votre plan de conversion écologique, bricolé à la hâte, annoncé en catastrophe mercredi dernier, qui répondra à la colère des Français ! Les aides que vous proposez ne sont pas à la hauteur de la situation alors que ceux qui manifestent n'arrivent déjà plus à boucler leurs fin...
… c'est tout ce mépris de la « France des éloignés » qui est aujourd'hui responsable de cette situation. Samedi dernier, les Français étaient en jaune. C'était pour vous un avertissement. Monsieur le Premier ministre, vous dites entendre leur colère mais nous vous demandons quant à nous, désormais, de réagir avant que toute cette colère ne dég...