Les amendements de Stéphane Peu pour ce dossier
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Nous ne sommes pas intervenus sur l'article, mais je souhaitais réagir aux propos de la majorité. Je ne constate pas d'aujourd'hui que cette majorité « de la start-up nation » a les yeux de Chimène pour Airbnb, entre autres, et joue les Bisounours avec des sociétés qui ne le sont en aucune manière. Vous pouvez créer tous les pseudo-règlements ...
Cela, c'est la démocratie, c'est le pragmatisme. J'ajouterai qu'à Paris et dans les villes de la région parisienne, que je connais bien, en plus de pourrir une économie du tourisme jusque-là prospère, Airbnb retire des logements du marché là même où la pénurie de logements est la plus grande.
Ne me dites pas que vous voulez régler la crise du logement alors que vous laissez le renard Airbnb dans le poulailler !
Je ne comprends pas bien pourquoi cet amendement figure dans la discussion commune. Mon précédent amendement, le no 1145, comme les amendements identiques, vise à donner aux maires la liberté de fixer le nombre maximal de nuitées, et ce, sur l'ensemble du territoire national. Au cas où vous le rejetteriez, ce que je n'imagine guère,
Monsieur le président, je n'ai pas défendu l'amendement no 1146, qui n'était pas rattaché aux précédents.
Pas du tout mais peu importe, nous y reviendrons. J'ai bien compris les arguments de M. Causse. Je ne connais pas le département des Landes, mais il est possible, en effet, que la location de résidences principales, via des plateformes comme Airbnb, dès lors qu'elle est limitée à quatre mois – 120 jours – soit un facteur de développement. Mais...
Il faut faire preuve d'une naïveté incroyable pour croire que la réglementation suffira à réserver aux seuls propriétaires de résidence principale le droit de louer leur logement pendant quatre mois, quand on sait que quatre mois de location par Airbnb représentent l'équivalent de deux à trois ans de loyer.
Monsieur le président, je suis intervenu pour m'étonner qu'il soit rattaché à cette discussion commune et vous en demander les raisons.
Ai-je le droit de m'exprimer ? Qui préside, ici ? Je vous ai posé la question, monsieur le président, mais je ne l'ai pas présenté. Je n'ai pas argumenté. L'Assemblée nationale a voté par scrutin public sans connaître la teneur de l'amendement, qui n'avait pas à être rattaché à cette discussion commune. Vous ne m'en avez pas donné les raisons....