Les amendements de Ugo Bernalicis pour ce dossier

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Je suis désolé, monsieur le secrétaire d'État, je ne sais pas si c'est l'effet d'une malédiction, mais chaque fois nous nous retrouvons ensemble tard dans la nuit !

Nous avons déjà posé des questions concernant les transports, hier lors de l'examen du texte en commission, et la semaine dernière en séance. Peut-être vous souvenez-vous d'avoir assisté le lundi à un échange avec M. le ministre des solidarités et de la santé, qui expliquait que l'interdiction de manger et de boire dans le train concernait les ...

C'est un peu insensé. Cela dit, pendant ce débat, le secrétaire d'État Taquet peut prendre le temps de la réflexion pour nous répondre sur la possibilité de manger des chips ou des M nous attendons des éléments de réponse. Collègues, vous ne pouvez pas nous dire que le Conseil constitutionnel se prononcera plus tard. Le collègue Larrivé avait...

Le rapporteur et le secrétaire d'État vous ont invité à retirer l'amendement ; la sagesse voudrait que vous le fassiez, ce qui vous honorerait. Du reste, j'applaudirais si vous le retiriez.

En présentant cet amendement de suppression, je souhaite rappeler au secrétaire d'État que si d'aventure il avait les éléments de réponse à la question que j'ai posée tout à l'heure, il pourrait prendre la parole à tout moment. Le président lui donnerait volontiers afin qu'il puisse nous éclairer sur la réglementation en vigueur dans les trains.

A-t-on le droit de boire et de manger lorsque l'on apporte sa nourriture et sa boisson comme cela avait été déclaré par le ministre des solidarités et de la santé ? Les instructions données par la SNCF sont-elles erronées ? Je pense que tel est le cas car j'ai lu le décret. Nous aimerions que vous confirmiez ce qu'avait dit Olivier Véran dans l...

…c'est une idée extraordinaire au moment où l'accès à la santé est central dans notre société et devrait constituer un droit inconditionnel pour toutes les citoyennes et les citoyens. Nous pensons que ces règles sont de trop, d'autant qu'on peut craindre des effets de bord : qui jugera de l'urgence ? Vous nous dites que ce seront les membres du...

Je le sais, monsieur le président. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas de réponse au banc sur tous les sujets que nous abordons.

Les membres du Gouvernement savent pourtant que je peux faire preuve d'une forte détermination. Je l'ai dit tout à l'heure au secrétaire d'État Attal, que j'avais interrogé à plusieurs reprises. Dès qu'il m'a donné la réponse, j'ai cessé de poser mes questions – mes collègues en sont témoins – et nous avons pu avancer. Pour qu'il en aille de mê...

Je me croyais seul, pardon ; le débat me semblait un peu éteint. Vous avez raison de me détromper. J'aimerais qu'on nous explique ce que signifie « en cas d'urgence ». Des débats ont eu lieu sur cette question, y compris sur la signification de cette expression dans le droit en vigueur. Encore une fois, vous renvoyez les personnes à leur propr...

Des problèmes concrets se posent quand une personne doit faire valoir qu'elle est dans une situation d'urgence. J'avais posé la question en commission le 29 décembre : existe-t-il un QR code pour un motif d'urgence ? Ce dispositif pourrait résoudre en partie le problème.

J'irai dans le même sens que M. Le Fur. Il y a quelqu'un qui a voté, au cours des neuf dernières années, tous les projets de loi de financement de la sécurité sociale qui font que nous sommes dans la situation que l'on connaît : c'est Olivier Véran.

S'il en est un qui est un peu comptable de la situation, c'est bien Olivier Véran puisqu'il a validé tout ce qui a été fait. Je ne remonterai pas plus loin dans le temps, ne voulant pas être désagréable avec mon collègue du groupe Les Républicains, mais il est vrai que la situation est problématique. Vous pointez du doigt ceux qui ne sont pas v...

en refusant que la commission mixte paritaire (CMP) n'aboutisse pas ? Qui a refusé les débats sur la base d'un tweet ? C'est vous. Alors, pas de leçons !

Nous avons à faire face à une difficulté dans ce débat, c'est que nos collègues de la majorité ne veulent pas débattre. Après avoir fait leur petit coup politique hier en prétextant d'un tweet pour décréter que la CMP avait capoté, ce soir ils en ont ras le bol et voudraient qu'on avance. Pour cela, ils essaient de nous stimuler en nous donnant...

comme ils viennent de le faire en affirmant que les personnes qui meurent à l'hôpital en ce moment relèveraient de notre responsabilité. Chers collègues de la majorité, c'est vous qui êtes aux responsabilités, c'est vous qui gérez le pays, et je vous rappelle qu'en tout état de cause, le passe vaccinal ne se serait pas appliqué avant le 15 janv...

Vous aviez promis qu'avec le passe sanitaire, on n'en arriverait pas là, et pourtant nous y sommes ! Nous avons besoin que vous ouvriez les yeux, mais tout ce que vous faites, c'est un coup politique qui ne sert à rien contre l'épidémie !

Alors que nous proposons de recourir aux purificateurs d'air, quand le Sénat inscrit cette disposition dans le texte, vous la supprimez – c'est ce que vous avez fait la nuit dernière à minuit et demi ! Et avec ça, vous vous permettez encore de nous traiter d'irresponsables ! Je trouve que c'est fort de café !

Mon collègue Larive pensait vous être agréable en faisant une présentation commune des amendements n° 335, 322, 334 et 327, monsieur le président, mais si vous préférez que nous les soutenions individuellement, nous allons le faire.

Nous avions l'intention de rédiger une série d'amendements visant à ce que le passe vaccinal ne s'applique pas aux personnes âgées de 18 ans et plus, mais comme à partir d'une certaine heure plus personne ne lit même les amendements, pas même le rapporteur et encore moins le secrétaire d'État, vous ne vous êtes même pas rendu compte que le cont...