Les amendements de Vincent Rolland pour ce dossier
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Mon amendement propose de mettre fin à l'échéance du 1er janvier 2026 et de reconnaître d'une manière toute particulière la spécificité des communes de montagne. Celles-ci ont leur propre législation, à savoir la loi montagne de 1985 réactualisée en 2016. Si cette série d'amendements identiques était adoptée, chacune d'entre elles pourrait alor...
À la suite de l'intervention de notre collègue Schellenberger, Mme la rapporteure a déclaré que les communes et les communautés de communes avaient, pour certaines, choisi de se transformer en communautés d'agglomération. Or ce n'est absolument pas le cas, puisque, en vertu de la loi NOTRe, lorsque des intercommunalités avaient délibéré de ne p...
Alors, de grâce, si nous pouvions, s'agissant des compétences en matière d'eau et d'assainissement, redonner de l'indépendance aux communes, ce ne pourrait être, après les dégâts commis par la loi NOTRe, que bénéfique. En outre, je signale que les communautés de communes et d'agglomération n'ont pas forcément été créées en rapport avec les bas...
Cet amendement vise à permettre aux communes qui le souhaitent, sans limitation quant à leur nombre ou à leur population, de s'opposer au transfert de compétence, y compris après 2026.
Celui-ci vise à permettre aux communes qui le souhaitent de reporter le transfert des compétences relatives à l'eau ou l'assainissement, toujours sans limitation quant à leur nombre ou à leur population. Nous sommes attachés à la libre administration de chaque commune.
On l'a dit, certaines communautés de communes sont très hétérogènes, notamment du point de vue géographique et eu égard à la densité. Cet amendement vise donc, dans l'hypothèse où les précédents seraient rejetés, à donner plus de poids aux petites communes et à leur conférer une minorité de blocage sur un sujet aussi important pour leur avenir.
C'est un amendement de repli. Si vous refusez de supprimer la date butoir de 2026, il convient d'envisager, au minimum, de la repousser de quatre ans, afin de laisser aux collectivités le temps nécessaire pour que le transfert se fasse dans les meilleures conditions.
C'est encore un amendement de repli, visant à exonérer les communes de montagne, dont nous avons parlé tout à l'heure, reconnues par l'article 3 de la loi relative au développement et à la protection de la montagne, de la date butoir du 1er janvier 2026.
Il s'agit toujours des communes de montagne qui souhaitent conserver la compétence eau etou la compétence assainissement. Nous proposons qu'elles demeurent éligibles à l'intégralité des aides des divers organismes, notamment des agences de l'eau, afin de financer les travaux et les investissements futurs. Au demeurant, la loi de modernisation,...
Je m'interroge moi aussi sur l'utilité de la date du 1er janvier 2026. Nous sommes nombreux à avoir été membres de communautés d'agglomération ou de communautés de communes. La loi NOTRe a été particulièrement mal vécue et appliquée de manière brutale. En faisant disparaître cette date de 2026, cet amendement vise à redonner un peu de souplesse...
Le premier amendement, no 48, vise à permettre aux communes qui le souhaitent, sans limitation de leur nombre ou de leur population, de s'opposer au transfert de compétences, y compris au-delà de 2026. Quant au second amendement, no 47, il traite du même sujet, sans qu'il y ait de limitation sur le nombre de communes ou sur le nombre d'habitan...
Certaines communautés de communes sont très hétérogènes, géographiquement et en termes de densité. Cet amendement vise donc à donner davantage de poids aux petites communes et à leur conférer une minorité de blocage sur un sujet aussi important que celui que nous traitons.
Cet amendement vise à laisser davantage de temps aux élus municipaux pour apprécier la situation et éventuellement s'opposer à la délibération de la communauté de communes. C'est donc une liberté supplémentaire donnée aux collectivités.