Interventions sur "affiche"

60 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCaroline Abadie :

En effet… Mais certains candidats de votre formation avaient été ministres. Pour des candidats qui ne sont pas connus publiquement, ce qui était notre cas, de telles affiches offrent le moyen d'être identifiés en un coup d'oeil par les électeurs et d'indiquer à quel parti politique ils s'apparentent. Je note d'ailleurs, en nous observant, qu'elles ont permis un renouvellement de l'Assemblée nationale, et une meilleure représentation de notre société.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCaroline Abadie :

J'aurais mieux compris un amendement visant à interdire aux candidats de s'afficher avec un leader d'un autre parti politique sans son consentement. Quoi qu'il en soit, je refuse l'amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

En son temps, le général Boulanger, vous ne l'ignorez pas, s'était présenté à plusieurs élections législatives avant de démissionner à chaque fois, pour se représenter. Mais cela remonte aux années 1880. Il est temps de moderniser la législation et de soutenir cet amendement, qui vise à interdire aux personnalités étrangères à la circonscription de figurer sur l'affiche.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaUgo Bernalicis :

Il ne vous a sans doute pas échappé que, sur les affiches de La France insoumise, figurait une personnalité qui est ensuite devenue notre honorable président de groupe : ce fut un facteur d'identification politique. En la matière, deux conceptions sont possibles. Soit on considère qu'étant sous la Ve République, on est fondé à personnaliser, à présidentialiser, à « jupiteria… » non, je ne me risque pas au néologisme !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

Heureusement, le ridicule ne tue pas, chers collègues du groupe LR ! Avant de réaliser mon affiche, où je figurais avec fierté aux côtés d'Emmanuel Macron,

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

j'ai regardé ce qui s'était fait au cours des élections précédentes. J'ai tapé, dans le moteur de recherche le plus connu, les mots « majorité présidentielle », et qu'ai-je vu ? En 2007, des tonnes d'affiches représentant M. Sarkozy

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

et, en 2012, autant d'affiches montrant M. Hollande. Pour contribuer à notre réflexion, je propose que le concept de majorité présidentielle ne soit invocable que par ceux qui y appartiennent véritablement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

Par ailleurs, je comprends que nos amis du groupe LR n'aient pas eu très envie de s'afficher aux côtés de M. Fillon.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Jumel :

Par cohérence, on n'a jamais fait figurer sur nos affiches ni Sarkozy, ni Hollande, ni Macron !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Jumel :

On est donc légitime à soutenir cet amendement. Pour essayer de vous convaincre de le voter, je vous fais une proposition : ceux qui ont utilisé l'image du président Macron sur leurs affiches en 2017 auront l'obligation de faire de même à l'issue du quinquennat. Je pronostique qu'ils le feront avec moins d'enthousiasme et vraisemblablement, aussi, moins de succès.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThierry Benoit :

Je crois que cette question est très importante. Elle vaut pour les affiches électorales comme pour les professions de foi. On vient de nous rappeler les pratiques qui avaient cours sous les présidences antérieures. Mais, mesdames et messieurs les députés de la majorité présidentielle, vous avez expliqué, pendant la campagne électorale, que vous souhaitiez de nouvelles pratiques : c'est très important et c'est le moment de les mettre en oeuvre. De plus, nous venons de vi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLudovic Pajot :

...e choquant à ce que la photographie du candidat soit associée à celle du président ou de la présidente de son parti politique. Lorsque nous nous présentons à une élection législative, nous défendons des idées, un courant de pensée, et personne n'a à s'immiscer dans la manière dont chaque parti entend mener sa campagne électorale. Nous avons le droit de faire figurer ce que bon nous semble sur nos affiches. C'est pourquoi nous voterons contre cet amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDamien Abad :

...ion présidentielle. Les électeurs percevront davantage, de la sorte, l'utilité de l'élection de leurs députés. L'association de la photographie du candidat à celle d'une autre personnalité, extérieure à la circonscription, me paraît également de nature à favoriser l'illisibilité et l'incohérence politiques. De fait, lorsqu'on se présente aux élections municipales, on ne fait pas figurer, sur son affiche, la photographie de son voisin ; on ne le fait pas davantage lorsqu'on est candidat à une élection territoriale. Les élections législatives répondent certes, en partie, à une logique présidentielle – rien n'empêche, d'ailleurs, de l'expliquer clairement sur les tracts. Je regrette toutefois que les députés soient devenus des suppléants du Président de la République. Je trouve cela un peu dommage...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Coquerel :

...sait pas la même question au moment où régnait une forme de bipartisme dans notre pays. Je rappelle que l'amendement en discussion, et ceux qui l'ont précédé, n'évoquent pas la photographie du Président de la République, mais celle d'une autre personne que le candidat ou son suppléant. Si l'on vote votre amendement, toute personne tierce, tel qu'un responsable de parti, ne pourra apparaître sur l'affiche et la mention de son soutien ne sera pas permise. Toutefois, ce n'est pas de cela qu'il est question pour vous : vous visez le Président de la République. Donc je dénonce à mon tour une hypocrisie. De fait, cher collègue Abad, vous expliquez qu'il faut organiser le même jour l'élection présidentielle et les élections législatives. Mais il faut aller plus loin. Tout le problème vient du fait que ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Damaisin :

Chers collègues, j'ai, pour ma part, une solution bien plus simple pour tout le monde. Puisque l'on veut faire des économies et de l'écologie, supprimons les affiches !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

En effet, la Ve République, la vraie, celle fondée par le général de Gaulle, ne connaissait pas le quinquennat et ne confondait pas les rôles du Premier ministre et du Président de la République. Regardez quand la photo du Président de la République est apparue sur les affiches – vous avez situé l'origine de ce phénomène à 2007, avec Nicolas Sarkozy. Au passage, si la droite fait des propositions, c'est qu'elle est capable de revenir sur des erreurs qu'elle a commises. Donc nous vous invitons, chers amis de la majorité, à faire de même. Mais ayez conscience que la présence de la photographie du Président de la République est concomitante de l'apparition du quinquennat...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMatthieu Orphelin :

À vingt et une heures trente, on s'est dit que l'on irait vite, mais j'ai l'impression que l'on discute de nouveau de sujets éloignés du thème de la loi. Comme tout le monde le fait, moi aussi : on pourrait prendre une mesure environnementale, à savoir arrêter l'affichage électoral sur les panneaux libres, car, notamment dans les derniers jours de campagne, on recouvre toutes les affiches une dizaine de fois. Mettre un terme à cette pratique et limiter l'affichage électoral aux panneaux officiels serait un bon geste pour l'environnement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaXavier Breton :

Je voudrais répondre à notre collègue du MODEM qui évoquait nos soutiens. En 2007, j'ai été élu dans la vague de Nicolas Sarkozy ; j'avais pris son affiche, dont le slogan était « Ensemble, tout devient possible », j'avais remplacé son portrait par le mien et j'ai été élu. En 2017, j'ai soutenu François Fillon à la primaire et pendant toute la campagne de l'élection présidentielle, et je suis bien plus fier de mon élection de 2017 que de celle de 2007.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNathalie Elimas :

... du pluralisme de notre système démocratique, car les partis politiques ne seront plus soumis à l'arbitraire des banques privées pour bénéficier d'un crédit. De l'activité du parti aux campagnes électorales, le financement sera plus transparent et des assurances pourront être proposées si les intentions de vote ne sont pas suffisantes. Ainsi, en créant cette banque par ordonnance, le Gouvernement affichera une ambition démocratique plus conforme aux attentes de l'époque – l'exemplarité, la lisibilité, l'impartialité. Notre groupe affirme donc son soutien plein et entier au rétablissement de ce dispositif et souhaite que l'article 12 soit maintenu tel qu'il avait été proposé initialement par le Gouvernement.