Interventions sur "premier"

80 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDenis Masséglia :

...a semaine dernière, à la Celle-Saint-Cloud, près de Paris, les deux principaux protagonistes du conflit libyen ont signé une déclaration historique. Mes chers collègues, des accords de ce type ne sont pas communs ! La Libye n'est qu'à quelques heures de Paris, à quelques jours de mer de Marseille. La stabilité de ce pays, c'est aussi notre sécurité. Monsieur le ministre, cette déclaration est un premier pas. Pouvez-vous détailler ses conséquences immédiates ? Mais le chemin reste long et les problèmes sont nombreux : lutte contre Daech, migrations, trafics et autres sujets multiples qui touchent directement nos concitoyens. Ce que nous voyons encore aujourd'hui, c'est un État failli, dont le gouvernement ne contrôle que la capitale et où les milices sont partout. Les terroristes n'ont pas dispa...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphane Le Foll :

Monsieur le Premier ministre, je suis sûr que, comme d'autres, vous avez écouté le discours du Président de la République qu'il a tenu sur la base aérienne d'Istres. Je l'ai bien sûr écouté moi-même avec attention. J'ai noté l'engagement pris d'augmenter de manière significative le budget des armées à hauteur d'un milliard huit cents millions d'euros. Mais ce n'est pas ce qui m'a interpellé et qui justifie aujourd'h...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉmilie Cariou :

...onnels de la Meuse me font part. Des difficultés semblent toucher tous nos territoires. Dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune – la PAC – de 2014, différents impairs dans la cartographie de l'évolution des exploitations et de leur superficie seraient à l'origine de dysfonctionnements majeurs. Les agriculteurs sont préoccupés par les fonds mobilisés dans le cadre des aides du premier pilier de la PAC. Par ailleurs, j'ai été alertée à propos d'importants retards survenus depuis 2015 dans le paiement des aides dues dans le secteur de l'agriculture biologique et au titre des mesures agro-environnementales et climatiques, deux financements organisés via le deuxième pilier de la PAC et impliquant les régions. Monsieur le ministre, afin de rassurer les agriculteurs et nos concitoy...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

Monsieur le Premier ministre, depuis votre arrivée, le SMIC n'a pas été revalorisé. Le gel du point d'indice des fonctionnaires a été maintenu. La CSG va augmenter, ce qui aura pour conséquence une baisse du pouvoir d'achat des retraités, notamment de ceux percevant une pension supérieure à 1 200 euros.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

Monsieur le Premier ministre, votre politique consiste à s'en prendre aux plus pauvres et à rendre aux plus riches.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

Un exemple : les 0,1 % des plus riches, soit 340 personnes, vont, en raison de votre réforme de l'ISF, économiser 3 millions d'euros par an en moyenne, ce qui coûtera près de 3 milliards d'euros au budget de l'État, soit le montant des bourses de 600 000 étudiants. Serez-vous le Premier ministre d'un gouvernement au service des nouveaux riches et qui fabrique des nouveaux pauvres ? Quant aux commissions achetées avec 5 euros, elles sont à votre disposition.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélien Pradié :

La baisse annoncée de 5 euros par mois de l'aide personnalisée au logement fait lever un vent de fronde dans notre pays, la fronde de ceux qui n'en peuvent plus d'être les premiers ponctionnés : la France des classes populaires, des étudiants, des parents célibataires, des demandeurs d'emploi, tous ceux pour qui 5 euros chaque mois, cela compte, cette France qui n'est pas « rien » et qui mérite autre chose que des ajustements. La baisse brutale, expéditive et sèche de l'APL est une faute. À Tourcoing comme dans le Lot, nos étudiants ne gagnent pas 1 000 euros par mois. À ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélien Pradié :

Gouverner, c'est aussi assumer, monsieur le ministre. Qui les premiers ont commis cette faute, la baisse surprise de l'APL ? Sont-ce vos prédécesseurs ? Est-ce votre Gouvernement ? Peu importe. Si, comme nous le pensons, la mesure est mauvaise, annulez-la. Sinon, assumez-la devant les Français. La dérobade et l'échappatoire, ce sont de vieilles méthodes, ce n'est pas le nouveau monde. Les Français attendent de vous que vous rangiez les rabots.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMeyer Habib :

Monsieur le Premier ministre, le 4 avril, en plein Paris, à Belleville, une femme, réveillée à quatre heures du matin par un barbare, a été torturée, battue et mutilée pendant quarante-cinq minutes, puis défenestrée, parce qu'elle était juive. Aux cris de « Allahou akbar ! », son assassin l'a massacrée à poings nus, récitant des sourates du Coran alors que, en bas de l'immeuble, vingt-six policiers – oui, vingt-six...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Pupponi :

Monsieur le Premier ministre, il y a quelques jours, votre gouvernement a pris la décision surprenante de réduire l'APL pour tous les allocataires, pour un montant de 100 millions d'euros environ en 2017. Cette décision, qui a bien entendu entraîné un tollé général, est absurde sur le fond comme sur la forme. Sur le fond, il n'est pas de bonne politique de s'attaquer aux populations les plus faibles de notre pays.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Pupponi :

Monsieur le Premier ministre, ma question est simple : acceptez-vous de retirer cette proposition et de vous asseoir à la table des négociations avec les représentants des locataires, des bailleurs, la CNAF – Caisse nationale des allocations familiales – et la Fondation Abbé Pierre, pour trouver 150 millions d'euros d'économies sans pénaliser les allocataires ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédérique Tuffnell :

Madame la ministre des solidarités et de la santé, dans le prolongement du discours de politique générale de M. le Premier ministre, vous avez annoncé rendre obligatoires huit vaccins jusqu'alors recommandés pour la petite enfance, en complément des trois vaccins actuellement obligatoires. Cette décision répond à une nécessité de santé publique. Ces huit vaccins sont fortement recommandés, et la couverture vaccinale est déjà très répandue, puisque 70 % des enfants de moins de deux ans les reçoivent déjà aujourd'hui. ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBérengère Poletti :

Monsieur le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, la transition énergétique constitue pour notre planète un enjeu de premier ordre. En France, elle soulève plusieurs questions d'importance, notamment celle du programme nucléaire. Vous aviez annoncé, le 10 juillet dernier, la fermeture de dix-sept réacteurs nucléaires ; et voilà que, dix jours plus tard, ce sont vingt-cinq fermetures à prévoir d'ici à 2025. Quel programme ! Même si c'était faisable financièrement et humainement – ce dont nous doutons – , comment dévelo...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaurice Leroy :

Monsieur le Premier ministre, avant-hier, au Sénat, avec le Président de la République, vous avez lancé la Conférence nationale des territoires. C'est une excellente initiative, que les députés du groupe Les Constructifs saluent, de même que je me réjouis de voir relancée l'ambition initiale du Grand Paris, notamment pour renouer avec l'axe Seine – et pourquoi pas, monsieur le Premier ministre, faire du Havre le por...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaurice Leroy :

Oui, il faut un contrat, monsieur le Premier ministre, mais pas seulement financier, pour trouver de quoi boucler votre budget de l'État. Il faut prendre conscience de la désespérance silencieuse de nos campagnes. Il faut comprendre le sentiment d'abandon qui gagne nos territoires ruraux. Il faut du souffle et de l'ambition pour notre ruralité. Monsieur le Premier ministre, avec les députés du groupe Les Constructifs, nous vous proposons d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

Monsieur le Premier ministre, l'amiante tue 3 000 personnes par an. Depuis 2004, 45 500 personnes sont mortes. Or, vingt ans après l'interdiction de ce matériau, les victimes attendent toujours un procès au pénal. En effet, il est avéré que les maladies ayant causé le décès de ces ouvriers sont dues à l'amiante. De même, il est attesté que cette relation de cause à effet était connue bien avant l'interdiction de la...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGéraldine Bannier :

Madame la ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, alors que, pour nos heureux bacheliers, « été » rime traditionnellement avec « repos bien mérité » ou « premier job d'été », voici que 87 000 d'entre eux sont encore dans l'angoisse, attendant qu'une hypothétique place leur soit attribuée en fac par le biais du système Admission Post Bac – APB.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Faure :

Monsieur le Premier ministre, avant de poser ma question, je voudrais rendre un hommage appuyé, au nom du groupe Nouvelle Gauche, au général Pierre de Villiers.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Faure :

Monsieur le Premier ministre, dans ce contexte, comment comptez-vous renouer les fils ténus de la confiance ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Sorre :

...nnée quelque 40 000 étudiants supplémentaires, cette hausse démographique devant perdurer jusqu'en 2022 ; s'ajoutent à ces néobacheliers les étudiants en réorientation. Le système doit donc changer et l'admission post-bac doit se fonder sur le respect de l'égalité de tous face à l'entrée à l'université. Des contrats de réussite étudiante ont été annoncés lors du discours de politique générale du Premier ministre, dans le but de mettre fin à l'échec en première année d'université. Il faut en effet donner beaucoup plus d'informations aux étudiants sur leur capacité à réussir dans une filière qu'ils pourraient choisir. L'université doit rester ouverte à tous et l'État doit oeuvrer pour une meilleure réussite de ses étudiants. Nous devons donc supprimer le système injuste du tirage au sort, souvent...