Interventions sur "problème"

280 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

Je regrette que l'amendement no 249 n'ait pas été adopté. Je crois vraiment que le passage au droit commun, à l'impôt sur le revenu des personnes publiques, comme pour n'importe quel citoyen, permettait de résoudre les problèmes et de dissiper toutes les suspicions. Puisque nous en restons au système voulu par la commission et la majorité, nous souhaitons modifier l'alinéa 4, afin que le bureau des assemblées définisse bien le type de dépenses éligibles, les conditions de leur prise en charge et, bien sûr, les conditions du contrôle, puisque celui-ci, nul n'en doute, est absolument nécessaire. Ce sera donc aux bureaux ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYves Jégo :

J'avoue ne pas comprendre ces avis défavorables : en quoi cela poserait-il un problème de bénéficier d'une définition claire de ce qu'il est possible de prendre en charge dans le cadre de l'IRFM ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaUgo Bernalicis :

...d'un collaborateur supplémentaire et d'une petite enveloppe d'indemnité représentative de frais de mandat, afin qu'elle puisse me représenter lorsque je suis en commission ou dans l'hémicycle, puisque je ne peux pas être dans ma circonscription à cause de la session extraordinaire, alors que je mériterais d'y être. Comment régler cette situation ? Peut-être Mme Le Pen et M. Aliot n'ont-ils pas ce problème aujourd'hui, mais c'est tout de même une vraie question qui se pose. Vous dites, madame la ministre, que la loi ne s'applique pas en la matière, mais si vous adoptiez mon amendement – que, je n'en doute pas, vous avez bien lu – , la loi disposerait qu'une telle situation n'est pas possible. Quels arguments rationnels pouvez-vous opposer à cela ? J'ai bien compris ce qu'il en est de la transpare...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Viala :

C'est un vrai problème, et je vous assure que, sur ce point, la rédaction de l'article est faible. Or il y va, madame la rapporteure, de l'exercice de la démocratie !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

...lement sur la base de l'article 58, alinéa 1, du règlement de notre assemblée, relatif au bon déroulement de nos débats. Notre collègue Annie Genevard a posé une question de fond sur l'organisation de nos débats. Vous avez répondu sur un point, monsieur le président, en disant qu'il n'appartient qu'à nous de participer au bureau. Mais le fait que nous faisions ou non partie du bureau n'est qu'un problème secondaire. Le problème qui me paraît essentiel, c'est que mardi, à l'heure même où la commission mixte paritaire, dont je fais partie, est convoquée pour voir si le texte que nous sommes en train d'examiner trouvera le plein accord des sénateurs ; et alors même que la conférence des présidents qui s'est réunie hier a inscrit à l'ordre du jour de notre séance de jeudi la lecture définitive, ou l...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristian Jacob :

... pour interdire les liens familiaux, ce qui à mon avis sera d'ailleurs sujet à recours, et je ne sais pas jusqu'à quel point l'argumentation appuyant cette modification de la loi tiendra. Ce ne serait faire insulte à personne que de leur laisser jusqu'au 31 décembre ! Ce ne serait contrevenir à aucun engagement que de leur laisser finir l'année civile et l'année fiscale, je ne vois pas où est le problème ! Vous envisagiez deux mois : qu'est-ce qu'un mois de plus va changer fondamentalement à l'application de la loi ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

...asse, puisqu'on va mettre brutalement un terme à de nombreux contrats. La question, mes chers collègues, est de savoir si le Parlement peut souverainement décider d'octroyer à ces gens un mois supplémentaire pour leur permettre de se retourner : pour vous ça ne changera pas grand-chose mais à eux, cela leur facilitera la vie. Et ce n'est pas parce que les salariés des centrales à charbon ont des problèmes qu'il faut en créer ailleurs !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Faure :

Je comprends l'intention de notre collègue Furst. Je tiens toutefois à faire une autre proposition, car son amendement pose problème. Imaginez que le nom d'un opposant, voire d'un membre de la majorité, pressenti pour entrer au Gouvernement sans être finalement nommé, paraisse au Journal officiel : que penseraient ses concitoyens ? Qu'il a des choses à se reprocher puisque, finalement, il n'a pas intégré le Gouvernement. Il deviendrait dès lors infamant de ne pas avoir été retenu après avoir été pressenti. C'est pourquoi je p...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Hetzel :

...e sur un seul, la rémunération des conseillers directs des ministres, qui sont mieux payés que les ministres et, bien entendu, que les parlementaires, y compris le président de l'Assemblée nationale. Cette question mériterait d'être posée avec sérieux, car elle est importante. Tous nos collègues, y compris ceux de La République en marche, qui sont majoritaires, peuvent comprendre qu'il y a là un problème. Si vous voulez être vertueux, il faut voter cet amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Viala :

...'intérêts. Il est évident qu'un membre du Gouvernement prend part à des décisions qui ont des conséquences sur la position de la France par rapport à d'autres pays, éventuellement à celui dont un titulaire de la double nationalité a également la nationalité. La seconde justification ressort de nos débats sur la transparence, que nous mettons actuellement en oeuvre : la double nationalité pose un problème de transparence pour la personne en cause, puisque des éléments de sa situation financière ou fiscale peuvent relever de l'autre pays dont elle a également la nationalité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

Sur le sujet dont nous parlons, le débat est interdit. Cet article aurait pourtant dû avoir pour objet principal d'ouvrir un véritable débat au Parlement sur la notion de licenciement économique dans les cas qui nous occupent. Je connais le problème pour l'avoir vécu : j'ai procédé à un licenciement économique, les services de l'Assemblée m'ont expliqué que ce n'était pas possible et j'ai dû requalifier le licenciement, ce qui m'a causé quelques problèmes juridiques. Il y a ici une incroyable fiction. Le motif d'un licenciement pour cause réelle et sérieuse est normalement inhérent à la personne du salarié. Nous, parlementaires, sommes dans...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Viala :

Or, pour une personne amenée à prendre des décisions au nom d'un gouvernement, la binationalité peut poser problème.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Hetzel :

Des frais de représentation peuvent poser problème. Là aussi, l'exemplarité et la transparence doivent être les règles. Notre amendement va pleinement dans ce sens. Vous avez vous-mêmes considéré que ces valeurs devaient prévaloir : nous allons pouvoir vérifier à l'instant si elles seront imposées aux membres du Gouvernement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

C'est en effet une conception assez intéressante de la séparation des pouvoirs : si je suis le raisonnement de la garde des sceaux, lorsque le Gouvernement propose de revoir les règles applicables aux frais de fonctionnement des députés, il n'y a pas de problème de séparation des pouvoirs, alors que si par hasard les députés décident de revoir les règles de fonctionnement des dépenses de réception des ministres, c'est une atteinte à la séparation des pouvoirs. Tout cela me semble juridiquement assez confus, d'autant que, tel que l'amendement est rédigé, le Parlement ne déterminerait pas lui-même ces règles, mais donnerait compétence à l'exécutif pour déf...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYaël Braun-Pivet, rapporteure de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République :

Les députés ont du mal à trouver des places quand ils arrivent cinq minutes en retard ! Je vois aussi un hémicycle qui est largement fourni. Pour le moment, à titre personnel, en tant que nouvelle députée, le problème que vous évoquez ne me saute pas aux yeux : je n'ai pas votre expérience de commissions aux trois quarts vides. J'entends bien votre préoccupation, et je la rejoins à titre personnel, mais il ne me paraît pas que ce soit à la loi de régler cette problématique.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Coquerel :

... doigt les parlementaires, avec notamment l'IRFM et la réserve parlementaire, dans une urgence telle qu'une session extraordinaire était nécessaire. C'est finalement assez complémentaire de la vision hyper-présidentialiste d'Emmanuel Macron et de ce qui s'est révélé lors du Congrès : il est gêné par le Parlement ; cette loi vise à affaiblir ce dernier et à le désigner comme responsable unique des problèmes de moralisation publique devant nos concitoyens. C'est anormal.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

Pourtant, des électeurs m'ont demandé pourquoi je n'étais pas dans l'hémicycle la semaine dernière. C'est parce que j'étais en commission pour travailler sur le texte que nous sommes en train d'examiner. Il faut poser ce problème de lisibilité. Il faut que le bureau se saisisse du sujet de l'organisation de notre mode de travail, qui rejoint ce que disait Ugo Bernalicis sur la question de la vie familiale. Nous devons réfléchir à tout cela.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDamien Abad :

...é du vote est importante. Ce serait bien de pouvoir y revenir. Il faudra aussi prendre conscience que le temps passé dans notre hémicycle est trop important, ce qui donne une image décalée de la réalité du travail parlementaire. Quand un amendement est voté à vingt ou trente voix, presque comme en commission, forcément cela interroge nos concitoyens. Nous ne pouvons pas rester inactifs face à ce problème, qui pose la question de la réhabilitation du travail parlementaire. C'est ce que je reproche à votre loi : c'est surtout une loi de circonstance. Certaines de ses dispositions sont bonnes, je l'ai dit et je l'assume, mais elle manque l'occasion de réformer en profondeur le Parlement. Le but est de réhabiliter la fonction parlementaire et de faire en sorte que le Parlement soit un vrai contre-p...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

… mais il peut parfois s'agir d'une disposition que le Gouvernement n'avait pas prévue à l'origine et que, par leur droit d'inventivité, les parlementaires introduisent parce qu'ils pensent qu'elle peut être rattachée au texte ! Le véritable débat que nous aurions dû avoir à propos de la moralisation de la vie politique porte sur le statut de l'élu. C'est le coeur du problème. La nature des élus a évolué.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

L'évolution du Parlement, qu'a évoquée Damien Abad, renvoie exactement au même problème. Autrefois, le maire d'une petite commune pouvait se contenter d'une indemnisation de 600 ou 700 euros par mois en espérant cumuler son mandat avec telle ou telle fonction pour arriver, à la fin, à un revenu à peu près normal par rapport à ce qu'il aurait pu gagner en gardant une activité professionnelle. Mais avec le non-cumul des mandats, ce calcul va s'effondrer. Il faut arrêter de considérer...