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Le seul moyen de nous en sortir, c'est la vaccination. On peut parler de liberté individuelle, mais la liberté, c'est la liberté de vivre, et elle passe par la vaccination. Au moment où Israël s'interroge sur l'administration d'une quatrième dose de vaccin et alors qu'on voit bien que les aménagements que nous adoptons sont les seuls qui nous permettront d'aller de l'avant, nous ne nous associerons pas à votre motion de rejet préalable et voter...
... même que cette information soit sur les réseaux sociaux, elle n'a pas à être retweetée, y compris par le ministre. Je vous engage par ailleurs, monsieur le ministre, vous qui représentez le Gouvernement, à écouter davantage les oppositions, et à le faire avec humilité, car aucun d'entre nous ne détient une part totale de vérité. Notre objectif est que la totalité de la population française soit vaccinée, et ce n'est pas en opposant les vaccinés et les non-vaccinés que nous y parviendrons. Il est essentiel, comme vous l'avez dit, d'éviter la fracture sociale. Nous sommes d'accord avec M. Mélenchon quant au caractère tardif de la réaction face à un variant que nous connaissons depuis novembre, alors que se profilent déjà d'autres variants qui appelleront d'autres actions. Nous rappelons aussi q...
…puisque les personnes non vaccinées viendraient remplir encore davantage les lits d'hospitalisation et de réanimation.
Quel message enverrions-nous aux 50 millions de Français qui ont fait le geste de la vaccination et sont aujourd'hui victimes de déprogrammations à l'hôpital, qui ne pourront pas être opérés pour un cancer ou des problèmes cardio-vasculaires, et pour qui il n'y a pas de lits d'hospitalisation parce que 5 millions de personnes ont fait le choix de la non-vaccination et devront, malheureusement, être admises à l'hôpital ou en réanimation ? En réalité, le problème n'est pas seulement là, ...
Bien sûr que si ! Vous avez été contre les confinements et contre les couvre-feu. Lorsque nous avons demandé des crédits supplémentaires pour l'hôpital, vous avez voté contre. Vous étiez contre le passe sanitaire et vous êtes contre le passe vaccinal. Si nous vous suivions, il n'y aurait aucune mesure contre cette pandémie. Votre programme, monsieur Mélenchon, c'est le chaos, c'est la chienlit !
J'entends ceux qui disent, peut-être en le regrettant, que le passe vaccinal sera voté à une large majorité. Mais je me souviens qu'au mois de novembre, le passe sanitaire a été adopté à une voix près.
Depuis, la ministre déléguée l'a dit, 10 millions de personnes supplémentaires ont été vaccinées. Où en serions-nous aujourd'hui si nous vous avions écoutés et qu'il n'y avait pas eu de passe sanitaire ? Sans passe vaccinal, quelle est la solution ? Un confinement ? Je veux bien qu'on évoque toutes les possibilités ! Il y a une autre option, celle qui consiste à trouver des traitements alternatifs au vaccin. Mais où sont-ils ? Le professeur Raoult, depuis qu'il a quitté une émission, est ...
Le passe sanitaire et le passe vaccinal, ce sont vraiment les passes de la sécurité : ils servent à protéger nos concitoyens. Vous les refusez, dont acte ! Ce soir, les choses sont claires.
…et comment nous pouvons le faire face à la cinquième vague et face à la sixième. Certains rejettent certaines mesures, mais si le passe vaccinal et certaines mesures restrictives peuvent freiner les hospitalisations et les entrées en réanimation, pourquoi les refuser et ne pas les mettre en œuvre ? Enfin, la responsabilité la plus importante incombe à celles et ceux qui, aujourd'hui, ne sont pas convaincus. Je vous rejoins pour dire qu'il faut convaincre, et non pas contraindre celles et ceux qui ne sont pas encore vaccinés ,
Non seulement vous êtes en train de diviser le peuple, vous envoyez le GIGN et le RAID – Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion – en Guadeloupe et vous gazez des soignants avec leurs patients en Martinique, mais la discussion médiatique qui se joue maintenant est de savoir s'il faut, oui ou non, continuer à soigner les non-vaccinés. Peut-être allez-vous nous dire que nous allons arrêter de soigner les fumeurs ou toutes les personnes qui souffrent de comorbidités – diabète, cancer ou troubles cardio-vasculaires –, puisque ce sont 72 % des gens à l'hôpital qui souffrent de comorbidités avec le covid.
...llectif « Laissons les médecins prescrire » fait état de 300 à 400 patients traités efficacement avec l'ivermectine durant cette période. Ils ne sont absolument pas en réanimation, contrairement à ce que d'aucuns me soufflent. Rappelons que l'Institut Robert Koch, l'équivalent allemand de la Haute Autorité de santé (HAS), a clairement mis en évidence que 95,58 % des patients positifs avaient été vaccinés. Peut-être faudrait-il remettre un peu de clarté dans nos débats,…
...sur les masques et les tests – j'en passe, et des meilleures : vous nous avez tout fait. Nous souscrivons cependant à l'objectif de ce projet de loi, qui est de lutter contre la pandémie de covid-19, mais nous divergeons fortement quant aux moyens de répondre à la situation catastrophique de la crise sanitaire. L'obligation ne résoudra pas tout comme par magie. Nous approchons de 75 % de doubles vaccinés, nous sommes parmi les premiers de la classe en Europe, et nous nous en félicitons. Pourtant, nous n'avons jamais eu autant de cas, à tel point que des couvre-feu réapparaissent, comme à La Réunion. Je vous rappelle que, pour l'OMS, le véritable cœur névralgique du problème est que la crise est globale. L'Europe doit coopérer avec les autres continents afin que la vaccination soit, elle aussi, ...
en assumant à la fois de prendre les décisions pour protéger la santé des Françaises et des Français et maintenir la vie, la continuité de la vie. Ce qui se cache derrière vos votes contre, derrière vos motions de rejet à répétition, c'est votre refus de soutenir la campagne de vaccination. Nous avons bien entendu que vous étiez pour le vaccin, mais, chaque fois, il y a des « mais »,…
…lesquels s'accompagnent de longs discours qui ne font qu'instrumentaliser les doutes des antivax autour du vaccin.
Que l'on soit pour ou contre le passe vaccinal n'est pas la question. Nous allons donner l'impression que nous votons ce texte en catimini,…
Nous ne pouvons pas voter cette motion de rejet, parce que, s'il y a lieu de débattre, il y a lieu aussi de se faire vacciner. Parce que nous sommes la première force d'opposition à ce Gouvernement depuis cinq ans, parce que nous avons demandé et animé une commission d'enquête parlementaire, nous savons qu'il y a eu un manque de préparation, un manque d'anticipation dans la crise, des défauts de gestion dans les EHPAD, à l'hôpital, dans les écoles. Mais nous sommes aussi responsables, favorables à la vaccination et fa...
La suppression du terme « propagation » est liée à l'avis du Conseil d'État. En effet, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal procède d'une stratégie sanitaire adaptée à l'évolution de l'épidémie. Nous ne luttons pas seulement contre la propagation du virus, mais contre le virus lui-même et toutes ses conséquences, notamment sur le système de soins. Avis défavorable. Après avoir entendu dire que nous travaillons en catimini, je tiens pour ma part à me réjouir de voir autant de députés dans cet hémicycle.
Le passe vaccinal remet en effet en cause un certain nombre de libertés, en particulier celle de se soigner. Et ce n'est pas forcément à l'État de décider pour nous comment nous devons nous soigner. La question qui se pose est celle du consentement du patient. On a bien là quelque chose qui contraint la population. Je me pose aussi la question de la proportionnalité. Les mesures qu'on nous propose seront-elles ...
Depuis le début de cette crise, vous nous dites qu'on va s'en sortir. Mais la vaccination n'empêche pas les gens d'être malades, elle n'empêche pas le virus de circuler ni sa propagation.
Je me demande s'il ne faut pas prendre d'autres mesures plutôt que de rester le nez dans le guidon sur la vaccination. Vous avez proposé de limiter les contacts avec le recours au télétravail, et c'est une bonne chose. Vous auriez pu aussi différer la rentrée des classes, mais vous n'avez pas choisi cette solution. Quant à la question de l'hôpital, c'est un gros problème. Moi qui suis élu d'un territoire où l'on trouve des déserts médicaux, je peux dire que nous n'avons pas agi, collectivement, comme nous ...