Publié le 24 mars 2021 par : M. Menuel, Mme Anthoine, Mme Audibert, Mme Bazin-Malgras, M. Benassaya, Mme Bonnivard, M. Bony, M. Bourgeaux, M. Gosselin, M. Ramadier, M. Sermier, M. Therry, M. Jean-Pierre Vigier, M. Viry.
Compléter le titre du chapitre IV, en ajoutant :
Après le mot « entre », « le transport fluvial »
Avec ses 8 500 km de voies navigables, la France dispose de l’un des principaux réseaux fluviaux d’Europe. Le secteur fluvial est, par excellence, un des moyens de transport réduisant l’impact en matière de CO². Pour preuve, la mise à grand gabarit de la Seine entre les communes de Bray-sur-Seine et Nogent-sur-Seine permettrait de réduire annuellement le passage de 27 000 camions dans une petite région naturelle surnommée la Bassée. Un impact bénéfique concernant le CO² de l’ordre de 5 000 tonnes par an.
Il est primordial de compléter et d’ouvrir l’intermodalité au transport fluvial pour limiter les émissions du transport aérien.
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