Publié le 4 novembre 2021 par : Mme Rabault, Mme Pires Beaune, M. Jean-Louis Bricout, Mme Rouaux, M. Aviragnet, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, Mme Lamia El Aaraje, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, Mme Jourdan, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Jérôme Lambert, M. Leseul, Mme Manin, M. Naillet, M. Potier, Mme Santiago, M. Saulignac, Mme Tolmont, Mme Untermaier, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, Mme Victory.
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Opérations en capital intéressant les participations financières de l'État | 1 885 050 000 | 0 |
Désendettement de l'État et d'établissements publics de l'État | 0 | 1 885 050 000 |
TOTAUX | 1 885 050 000 | 1 885 050 000 |
SOLDE | 0 |
Cet amendement ne vise pas à remettre en cause la réduction de 1,9 milliard d’euros de la dette française liée au Covid-19.
Il vise à remettre en cause le modus operandi : en effet, utiliser le compte d’affectation spéciale « participations financières de l’Etat » pour réduire la dette ne relève pas des missions de l'Agence des participations de l'Etat (APE).
Pour assurer la recevabilité financière de cet amendement au regard de l’article 40 de la Constitution, il est nécessaire de le gager. Ainsi cet amendement procède à :
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