Publié le 20 octobre 2021 par : Mme Untermaier, Mme Lamia El Aaraje, Mme Karamanli, M. Saulignac, Mme Pires Beaune, M. Jean-Louis Bricout, Mme Rabault, Mme Rouaux, M. Aviragnet, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, Mme Jourdan, M. Juanico, M. Jérôme Lambert, M. Leseul, Mme Manin, M. Naillet, M. Potier, Mme Santiago, Mme Tolmont, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, Mme Victory, les membres du groupe Socialistes et apparentés.
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Justice judiciaire | 0 | 0 |
Administration pénitentiaire | 50 000 000 | 0 |
Protection judiciaire de la jeunesse | 0 | 0 |
Accès au droit et à la justice | 0 | 0 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice | 0 | 50 000 000 |
Conseil supérieur de la magistrature | 0 | 0 |
TOTAUX | 50 000 000 | 50 000 000 |
SOLDE | 0 |
Cet amendement de crédits du groupe Socialistes et apparentés vise à renforcer le budget de l’administration pénitentiaire afin qu’elle dispose des moyens nécessaires pour améliorer les conditions de détention des personnes placées en détention provisoire.
En effet, dans une décision QPC rendue le 2 octobre 2020, le Conseil constitutionnel a enjoint le législateur prendre les mesures permettant de mettre fin à des conditions de détention contraire au principe de dignité de la personne humaine. Une proposition de loi a depuis été adoptée. Cet amendement vise ainsi à budgéter en partie une réforme qui s’impose aux pouvoirs publics en vertu de l’article 62 de la Constitution.
Afin de respecter les règles de recevabilité financière relatives aux amendements de crédits, cet amendement :
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