Publié le 24 septembre 2021 par : Mme Le Grip, M. Minot, Mme Anthoine, Mme Audibert, Mme Bazin-Malgras, M. Benassaya, Mme Bonnivard, M. Bony, M. Bourgeaux, M. Cattin, Mme Kuster, Mme Meunier, M. Nury, Mme Poletti, M. Quentin, M. Ravier, M. Vialay, M. Brun, M. Pauget, Mme Trastour-Isnart, M. Marleix, M. Meyer, M. Victor Habert-Dassault, Mme Boëlle, M. Reiss, Mme Louwagie, Mme Serre, M. de la Verpillière.
Après la première phrase de l’alinéa 9, insérer la phrase suivante :
« À titre expérimental, à compter de la rentrée scolaire suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, dans certaines municipalités dont la liste est fixée par décret, il peut, si nécessaire, adapter les projets d’apprentissage, les rythmes scolaires, les récréations, la durée des cours et les façons d’enseigner. »
Le 2 septembre dernier, le Président de la République a fait part de sa vision de « l’école du futur » lors de son discours « Marseille en Grand ».
Il a fait part de son souhait de lancer très prochainement cette expérimentation, je cite : « lancer ce projet dans les premières écoles, où on pourra donc adapter, repenser les projets d'apprentissage, les rythmes scolaires, les récréations, la durée des cours, les façons d'enseigner, et qu'on puisse commencer dès la rentrée 2022-2023 ».
Cet amendement propose d’étendre ce que le Président de la République a souhaité engager pour la seule ville de Marseille à d’autres écoles désireuses de participer à cette expérimentation. Aussi il est proposé qu’un décret fixe les municipalités participantes.
Le présent amendement vise donc à élargir les prérogatives des directrices et directeurs d’école, que ce soit sur le projet pédagogique, le rythme scolaire ou l’organisation des journées des élèves.
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