Publié le 16 octobre 2021 par : M. Ruffin, M. Bonnell, Mme Autain, M. Bernalicis, M. Coquerel, M. Corbière, Mme Fiat, M. Lachaud, M. Larive, M. Mélenchon, Mme Obono, Mme Panot, M. Prud'homme, M. Quatennens, M. Ratenon, Mme Ressiguier, Mme Rubin, Mme Taurine, M. Brotherson, Mme Batho, M. Villani, M. Jumel, M. Wulfranc.
Compléter l’alinéa 8 par la phrase suivante :
« Ce cahier des charges prévoit que tout auxiliaire de vie sociale doit suivre une formation dans l’année qui suit son embauche ».
Près de 760 000 personnes âgées en perte d’autonomie ont recours à des prestations d'un service d’aide et d’accompagnement à domicile (SAAD). Cette solution, souvent privilégiée par nos ainé·es, n’est possible que si les auxiliaires de vie sociale (AVS) bénéficient d’une formation pour accompagner au mieux les personnes dépendantes.
La reconnaissance des auxiliaires de vie sociale, qui œuvrent auprès des plus fragiles et des plus isolés, nécessite une meilleure reconnaissance, laquelle est conditionnée par une professionnalisation.
En ce sens, le cahier des charges des activités d’aide et d’accompagnement à domicile doit prévoir que chaque AVS bénéficie, dans l’année qui suit son premier emploi, d’une formation organisée et financée par le département. Cette formation pourrait notamment permettre l’acquisition du diplôme d’État d’accompagnement éducatif et social (DEAES).
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