Les amendements de Damien Abad pour ce dossier
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Vous, l'ancien maire du Havre, l'ancien député de Seine-Maritime, comment pouvez-vous rester sourd à l'appel des Français et de tous ces gilets jaunes qui ne demandent qu'une seule chose : pouvoir boucler leurs fins de mois grâce au fruit de leur travail ?
Pensez-vous vraiment que c'est avec le simple report des taxes et un moratoire sur le nouveau contrôle technique que vous allez rétablir l'ordre républicain et la justice sociale dans notre pays ?
Ma question s'adresse à M. le ministre de l'intérieur par intérim. « Vous, madame Gesler – il s'agit de la responsable de l'abattoir d'Hotonnes incendié de manière criminelle – , vous méritez la chambre à gaz, la torture. J'aimerais pouvoir réouvrir Auschwitz, un camp de la mort, pour vous y conduire avec votre famille et vos quatre-vingts sala...
Dix jours déjà que quatre-vingts salariés sont au chômage technique, que des centaines d'agriculteurs, de restaurateurs et de clients se retrouvent désemparées. Dix jours déjà que cette catastrophe économique, ce drame humain et cette prise en otage inacceptable de tout un territoire et de ses habitants attendent une réponse de l'État. Au-delà...
Vous pouvez agir ! Le code de la sécurité intérieure vous permet de dissoudre toutes les associations ou groupements qui provoquent à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes.
Jusqu'à quand ces associations pourront-elles continuer à exister et à publier des menaces, des insultes et des incitations à la haine sur internet en toute impunité ? Jusqu'à quand accepterons-nous que l'on s'en prenne à nos bouchers, à nos charcutiers et à nos fromagers ?
Monsieur le Premier ministre, les agriculteurs en ont ras le bol. Ils ne veulent plus des beaux discours mais des actes forts et courageux. Alors dites-nous que c'est du terrorisme alimentaire, acceptez la demande de commission d'enquête faite par la FNSEA et les députés Républicains et interdisez immédiatement ces associations, en rappelant qu...
Monsieur le Premier ministre, je viens vous demander ici, au nom des Républicains, de faire de la dignité de nos personnes âgées une grande cause nationale.
La situation dans la plupart des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, notamment dans mon département de l'Ain, est apocalyptique et indigne de la grandeur de la France. Des cadences infernales, des résidents déshumanisés, un personnel essoré : telle est la réalité et personne ne peut l'ignorer !
et la grève d'aujourd'hui est avant tout le reflet d'un mal-être sans précédent du personnel de santé. La France des EHPAD, des maisons de retraite et des hôpitaux de proximité est une France qui souffre et, à travers elle, c'est la France des retraités qui souffre. Elle souffre d'autant plus que votre politique fiscale, à travers la hausse de...
Loin de réduire la fracture médicale, vous y avez ajouté par votre politique une nouvelle fracture, la fracture générationnelle. Au nom de la représentation nationale, je veux ici dénoncer solennellement cette atteinte à la dignité humaine. Monsieur le Premier ministre, vous êtes garant des droits fondamentaux de nos aînés. Chaque jour, ces de...
Il y a urgence à passer du discours aux actes pour en finir avec un système médical à bout de souffle ; urgence à aller bien au-delà des 50 millions d'euros supplémentaires qui correspondront à une aide journalière de vingt-cinq centimes par personne âgée. Ma question est simple : à quand un véritable plan Marshall de la dépendance visant à sa...
Monsieur le président, avant de poser ma question à M. le Premier ministre, je voudrais saluer l'entrée au Panthéon de Simone Veil, cette femme admirable qui incarne la grandeur morale, et dont le message de tolérance et d'humanisme doit guider notre engagement.
Monsieur le Premier ministre, entre une opposition spectacle qui refuse de respecter les institutions de la République et une opposition sectaire qui préfère alimenter les peurs des Français, nous, Les Républicains, voulons incarner une opposition libre et responsable. Libre, car nous avons été élus sans avoir eu besoin de faire allégeance au G...
Or en augmentant la CSG dès 2018 et en repoussant aux calendes grecques les allégements de charges sociales et réductions d'impôts, monsieur le Premier ministre, vous prenez le risque immense de reproduire les erreurs du passé.
Je ne voudrais pas que vous soyez, dès aujourd'hui, le Premier ministre des décisions repoussées, et demain, le Premier ministre des renoncements coupables. Car, au final, ce seront les salariés, les retraités, les indépendants et les classes moyennes qui en subiront les conséquences. Une opposition vigilante, c'est aussi une opposition qui ve...