Les amendements de David Habib pour ce dossier
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L'ordre du jour appelle les questions au Gouvernement. Chers collègues, il me revient aujourd'hui, à la demande du président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, conformément à la rotation des vice-présidents, de présider cette séance de questions au Gouvernement. Vous le savez, le président Richard Ferrand est atteint par le covid-19. ...
Nous adressons les mêmes vœux à toutes les Françaises et à tous les Français actuellement touchés par le virus.
Il serait regrettable que, dès la première question, nous contrevenions à cet engagement que nous avons pris en début de séance !
La parole est à Mme Valérie Rabault. Monsieur Hetzel, un peu de calme, s'il vous plaît !
La parole est à M. le secrétaire d'État chargé du tourisme, des Français de l'étranger et de la francophonie.
La parole est à Mme la ministre déléguée chargée de la mémoire et des anciens combattants.
Chère collègue, je dois vous couper la parole. La parole est à M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports.
Votre temps est écoulé. La parole est à Mme la ministre déléguée chargée de l'industrie.
Je souhaite vous interroger sur un accord « de ciel ouvert » qui serait près d'être signé entre l'Union européenne et le Qatar, à l'initiative de la France, et qui est négocié en catimini. Alors que quarante-deux fréquences de vol par an sont actuellement accordées à Qatar Airways pour le transport des passagers, cet accord ne prévoit plus aucu...
Cette dictature maintient en esclavage plus de 2 millions de travailleurs migrants, méprise le droit des femmes et subventionne des groupes terroristes ; 6 500 personnes sont mortes sur les chantiers de la Coupe du monde.
Nicolas Sarkozy a déjà accordé au Qatar une fiscalité avantageuse : cela suffit. Il y va non seulement de nos compagnies aériennes, mais aussi de notre dignité. Monsieur le Premier ministre, allez-vous vous opposer à cet accord ?
Monsieur le ministre, la lecture de La Tribune vous éclairera peut-être davantage que les fiches de votre cabinet.
Le Président de la République avait affirmé en 2017 : « Nous serons toujours du côté des droits de l'homme ! ». Mais c'était en 2017, bien entendu !
Monsieur le Premier ministre, le 29 janvier, le chef de l'État sait que les scientifiques annoncent une troisième vague de l'épidémie en mars et avril : il n'en tient pas compte. Il fait, selon les mots de votre majorité, un « pari » – comme si on pouvait parier sur la santé des Français !
En réalité, son ambition n'était pas d'éviter le confinement, mais de nous habituer à vivre avec le virus, car le chef de l'État n'a pas cru au vaccin. Lui-même le reconnaissait, le 4 décembre : « Le vaccin arrive. Est-ce la seule réponse ? Non. ». Quelle faute !
N'avoir pas misé sur la science et l'intelligence, voilà votre erreur, celle qui explique tout ! Dès octobre, Boris Vallaud vous a interrogé sur la stratégie vaccinale.
Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, lui a alors répondu que la question était prématurée. En fait, rien n'était prêt. En décembre, le groupe socialistes et apparentés vous a demandé d'appliquer une gestion territorialisée de l'épidémie, avec l'instauration de mesures sévères là où le virus se multipliait et des mesures allég...
Monsieur le Premier ministre, cela ne peut plus durer ! En France, le nombre de morts du covid, c'est l'équivalent d'un Airbus qui s'écrase chaque jour. Le Gouvernement ne doit plus pouvoir agir sans que le Parlement contrôle son action. Il vous faut entendre les médecins, les enseignants, les élus, le Parlement : un homme ne peut décider seul ...
Monsieur le ministre, je vous ai entendu, et bien des points que vous avez évoqués méritent aujourd'hui que nous mobilisions notre énergie et notre volonté, mais il y a une exigence de collégialité et de transparence
Vous ne pouvez plus traiter cette crise comme vous l'avez fait jusqu'à présent. Nous sommes dans une double impasse sanitaire et démocratique : il est temps de réagir.