cosignée par Damien Abad, Emmanuelle Anthoine, Valérie Beauvais, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Marie-Christine Dalloz, Olivier Dassault, Bernard Deflesselles, Julien Dive, Pierre-Henri Dumont, Daniel Fasquelle, Nicolas Forissier, Laurent Furst, Claude de Ganay, Annie Genevard, Michel Herbillon, Brigitte Kuster, Charles de la Verpillière, Valérie Lacroute, Constance Le Grip, Véronique Louwagie, Éric Pauget, Bérengère Poletti, Robin Reda, Jean-Luc Reitzer, Bernard Reynès, Martial Saddier, Éric Straumann, Guy Teissier, Laurence Trastour-Isnart, Isabelle Valentin, Pierre Vatin & Arnaud Viala
Mesdames, Messieurs, La cohésion sociale mesure la capacité d'une société à assurer le bien-être de ses membres, à minimiser les disparités socio-économiques, éviter la marginalisation, gérer les polarisations et assurer la protection sociale de tous.
Elle est donc au coeur des enjeux de notre pays.
Il s'agit d'un processus dynamique indispensable au bon fonctionnement de la société, se déployant principalement sur deux volets : - Un volet social d'une part, censé assurer l'amélioration du bien-être social, environnemental et la justice sociale ; - mais également un volet économique visant à garantir l'efficacité économique.
Si la cohésion sociale est donc indispensable à notre modèle social, il apparaît qu'elle n'y est pas suffisamment bien ancrée.
En effet, selon le baromètre réalisé sur le sujet (CREDOC, 2013), 84 % des Français estiment que la cohésion sociale en France n'est « pas du tout forte » ou « pas très forte ». À ce sentiment général...
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