Mesdames, Messieurs, La vente de la branche énergie d'Alstom à General Electric, intervenue en 2014 dans des conditions plus que discutables, aboutit aujourd'hui à un terrible constat d'échec.
Après la suppression de 260 emplois chez General Electric Hydro, à Grenoble, l'an dernier, le groupe américain a en effet annoncé en début d'année la suppression de 565 postes à Belfort, Nantes, Nancy et en région parisienne dans les activités nucléaire, conversion de puissance, réseaux et éolien.
Puis fin mai, un nouveau plan de suppression de 212 postes dans les réseaux à Villeurbanne et Aix ainsi qu'un plan de délocalisation de 1045 emplois belfortains hors de France dont près de 800 dans l'entité turbines à gaz de Belfort, soit 45% des effectifs.
Déjà confronté à un manque de ressources dans certains services et à de nombreux problèmes de non-qualité et de retard qui pèsent pour plusieurs millions d'euros de pénalités, liés aux précédentes délocalisations d...
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